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Les dogons du Mali avaient localisé sans télescope l’Etoile Sirius B

Les dogons du Mali avaient localisé, sans l'aide de télescopes, l'étoile compagne naine de l'étoile Sirius

Les dogons du Mali, qui retracent leur lignée historique et génétique jusqu’à l’Égypte pré-dynastique en utilisant une méthodologie datant de plus de 600 ans ont pu localiser, sans l’aide de télescopes, l’étoile compagne naine de l’étoile Sirius.

(livre « Why darkness matter the power of melanin in the brain » par Ann Brown, Richard King, Owens Moore. Pourquoi la couleur noire a de l’importance, le pouvoir de la mélanine dans le cerveau)

Les dogons du Mali avaient  localisé, sans l’aide de télescopes, l’étoile compagne naine de l’étoile Sirius

Observatoire dogon de l’étoile Sirius

 

La neuromélanine est extrêmement sensible et réceptive à la lumière ou à la luminosité dans divers modes. Elle reflète littéralement une bioluminosité perçue en interne. Cela est vrai dans les diverses cultures et les traditions de méditation à travers le temps. Cet état de conscience semble avoir atteint un niveau clinique dans les travaux des Egyptiens de Kémet qui étaient des observateurs médicaux avisés de tels phénomènes, en relation avec la maladie. Les dogons du Mali, qui retracent leur lignée historique et génétique jusqu’à l’Égypte pré-dynastique en utilisant une méthodologie datant de plus de 600 ans ont pu localiser, sans l’aide de télescopes, l’étoile compagne naine de l’étoile Sirius. Les Dogons ont décrit sa forme orbitale et sa durée de rotation avec précision. Ils décrivirent son orbite, son axe et reconnurent aussi ses uniques caractéristiques gravitationnelles d’étoile très petite mais dense. Cette étoile appelée Sirius B a une magnitude de 8 et est invisible à l’œil nu. Elle fait une révolution autour de Sirius tous les 50 ans. Elle a été vue par télescope pour la 1ère fois par le monde scientifique moderne par 2 astronomes américains en 1862 et a été photographiée en 1970. Les Dogons ont aussi décrit avec exactitude d’autres objets clignotants près de Sirius B. Toute la cosmogonie des Dogons est commandée par Sirius B appelée aussi Digitaria.

Or, cette étoile n’a été découverte qu’en 1836 et identifiée comme une naine blanche qu’en 1915. Peu après, les anthropologues Marcel Griaule et Germaine Dieterlen (1986) découvrirent que les Dogons avaient bien d’autres connaissances en astronomie. Ils savaient, par exemple, que Jupiter a quatre satellites principaux, que les planètes tournent autour du soleil. Ils savaient que Saturne a des anneaux, que la Terre tourne autour du Soleil et que les étoiles sont des corps en mouvement perpétuel.

Ils savaient également que la Lune est une planète morte. Depuis des générations, les prêtres enseignent que la Voie lactée est animée d’un mouvement en spirale, auquel participe notre système solaire.

Un autre fait étrange, ils affirment que Sirius serait accompagnée, non pas d’une étoile, mais de deux étoiles.
Nous savons que Sirius B existe, mais, à ce jour, aucune Sirius C n’a été détectée. Il est intéressant de constater selon notre point de vue que le monde tourne comme sur une spirale. Les orbites de Sirius et Digitaria ont une forme elliptique, en spirale, les foyers de neuromélanine du cerveau reflètent cette forme en spirale du 1er au dernier foyer. En d’autres mots il apparait qu’il y a une similarité configurationnelle dans les orbites du monde externe et du monde interne.

Que nous acceptons ou non ces rapports de terrain venant de Griaule et Dieterlen, ils ont néanmoins donné lieu à un débat scientifique controversé et contentieux des scientifiques occidentaux avec des arguments se réclamant de la complète authenticité de ces rapports ou d’autres se prononçant sur une interprétation erronée. Ces connaissances des Dogons pourraient être rejetées si de tels rapports n’avaient pas été réalisés dans les temps anciens par des chercheurs et des astronomes depuis le philosophe grec Proclus et à travers tout un éventail d’époques et de cultures ; les plus anciens étant les écrits d’Hermès Trismégiste dans lesquels est mentionné le « Mystère noir » ou le rite noir. Il a été constaté une corrélation entre le monde externe et les fonctions intimes du corps humain, ce qui suggère une profonde connexion entre les deux. Il est tout à fait possible que nos actuelles lois sur la physique d’après lesquels nous définissons implicitement nos concepts et les limites de notre esprit n’incluent pas totalement les limites de la conscience. Des découvertes ultérieures pourront élargir grandement notre compréhension de la connexion entre le « dessous et le dessus « .Il est tout à fait possible qu’il y ait une similitude entre le cerveau et l’univers physique que nous ressentons réellement dans les états d’expériences conscientes unitaires ; il y aurait une affinité vibratoire telle une résonance quantique entre les structures du cerveau et l’espace représentatif avec les étoiles et les autres structures qui s’y meuvent. En d’autres mots la contiguïté d’un algorithme caché qui existerait entre le monde interne et l’espace externe et qui serait créé par une interaction entre les vibrations des foyers de neuromélanine, du cerveau et ses structures et les formes en courbe de l’espace.

Dans tous les cas les observations faites par les Dogons et célébrées dans leurs cérémonies, ont résisté à l’épreuve du temps et sont consensuellement validées par leurs disciplines religieuses et récemment par l’astronomie moderne. Il a été  avancé que lorsque la neuromélanine est moyennement activée, se déclenche le long de la colonne vertébrale la perception interne, d’un circuit lumineux, subtil, relaxant qui se produit en même temps que la neuromodulation qui se fait le long de cette colonne vertébrale. Par contre quand cette colonne nigro-striée est pleinement éveillée par diverses pratiques et disciplines, il se crée une perception intense et distincte de bioluminosité émergeant de cette matière noire, de la colonne au cœur du cerveau et au-delà. Aux stades précoces, cette perception est ressentie le long de la colonne comme une force ondulante et vivante qui proviendrait de l’entraînement résonnant et rythmique additionnel des foyers de neuromélanine topologiquement situés dans les 3èmes et 4èmes ventricules du cerveau . Les autres organes situés dans la chambre noire interne sont appelés organes circumventriculaires (ex hypophyse, hypothalamus….) la neuromélanine par ses affinités de résonance créerait un courant amplificateur qui se répercuterait dans la région du cortex moteur sensoriel dans le gyrus précentral en prenant en compte  ce courant particulier du cortex sensoriel circulaire ; cela est souvent constaté lors d’expériences méditatives classiques.

Ces organes circumventriculaires sont des structures cérébrales médianes qui bordent le 3è et le 4è ventricules et se trouvent hors de la barrière hémato-encéphalique. Etant donné que le sang et le liquide cérébro-spinal circulent entre ces structures et fluides plus librement dans ces lieux que dans toute autre région du corps et du cerveau, il y a un accroissement radical de communication entre ces structures, les organes périphériques, les produits à diffusion hématogène et les informations sur ces sites. Ces organes circumventriculaires comprennent la glande pinéale, l’éminence médiane, l’organe sous-fornique, la zone postrema, l’organe sous-commissural, l’organum vasculosum de la lamina terminalis, ils comprennent aussi les lobes intermédiaires et neuraux de l’hypophyse. Quand ces structures sont mises en mouvement par une respiration et /ou une dance rituelle et sont coordonnées par des mouvements du corps ou autres disciplines méditatives, il se produit une vibration synchronisée entre le 3è et le 4è ventricule qui sont connectés entre eux par un    tunnel de liquide cérébro-spinal. Quand cette spirale vibratoire atteint la glande pinéale, elle la stimule de façon ascendante, cette glande pinéale est liée à des zones situées   dans le 4è ventricule et flotte dans le liquide cérébro-spinal plein de vibrations. Etant donné que la neuromélanine a la capacité de transformer l’énergie d’un état à un autre : cela veut dire que le procédé de transfert de photo-phonon qui apparait dans le gel piézoélectrique   dans lequel les vibrations mécaniques sont converties en énergie  électrique , peut fournir l’énergie à ce courant interne qui se meut sous la forme d’un bâton ou de la partie inférieure d’une croix. De ce fait, la glande pinéale stimulée deviendrait le plan le plus élevé d’amplification et de répercussion de la boucle initiale située au sommet de ce bâton, et la diagonale ou le plan physionomique de cette croix serait le lieu où la neuromélanine est le plus concentré parmi les 12 foyers. Cette boucle d’énergie éveillée serait le symbole d’un œil, d’un oiseau ou autre symbole de lumière, de vol, de perception ou d’illumination et de liberté. Ces compétences de la neuromélanine existeraient depuis l’embryogénèse et se poursuivraient à différentes étapes du développement.

Pour les humains la glande pinéale en particulier fonctionne non seulement comme un site de procédés photosensibles mais c’est un capteur de champs électro magnétique et un détecteur d’oscillations de fréquences extrêmement basses. Ces particularités sont expérimentées dans des états méditatifs et dans d’autres états d’attention subjective focalisée.

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