Pourquoi les Noirs dominent en sport, musique et science
Teddy Riner le judoka le plus décoré de l’Histoire. Teddy Riner est né en Guadeloupe le 7 avril 1989. Détenteur d’un record de 12 titres de champion du monde, il enregistre une incroyable série de 155 victoires consécutives. Aux JO de 2024 il décroche sa quatrième médaille d’or olympique.
Usain Bolt né le 21 août 1986 est un athlète jamaïcain, spécialiste des épreuves de sprint. Il est généralement considéré comme le plus grand sprinter de tous les temps
Vous vous interrogez sur l’écrasante supériorité des noirs sur les blancs et les asiatiques en sport. (Vous l’avez une nouvelle fois constaté aux derniers JO de 2024) Confrontés publiquement aux performances des noirs dans les domaines du sport et de la musique, les leucodermes sont obligés de reconnaitre leur écrasante supériorité, supériorité aussi qu’ils sont contraints de reconnaitre dans la musique du fait qu’ils imitent beaucoup les noirs dans cette matière pour la composition de leurs airs et leurs chansons. Par contre bien que les inventeurs et savants noirs soient nombreux, ils se refusent à reconnaître cette supériorité dans les sciences et les mathématiques, sciences plus discrètes qu’ils peuvent cacher au public. Ils préfèrent ou bien méconnaitre totalement les noirs dans ces branches auxquels ils refusent la reconnaissance des inventions, ou bien les blanchir pour assimiler ces découvertes à eux leucodermes. En blanchiment d’hommes célèbres de couleur, je cite les grands compositeurs de musique comme Beethoven, Chopin, Schubert etc …, les hommes de lettres célèbres (ex Molière) qui étaient noirs ou métis et dont ils ont blanchi les portraits..(voir chap inventeurs noirs)
Quand vous regardez un noir et un blanc que voyez vous en 1er lieu et qui fait la différence physique entre eux, eh bien c’est la pigmentation : noire chez le noir, blanche chez le blanc. C’est cette pigmentation dominée par la présence de mélanine chez les noirs et par son absence chez le blanc qui fait toute la différence tant sur le plan physique (sport) que psychologique, mental (sciences, esprit inventif).
Il m’est totalement impossible d’expliquer la supériorité des noirs dans le sport sans présenter ce pigment qui est à l’origine de leurs performances et que les médias leucodermes dirigés par leur « élite » composée de leurs scientifiques, intellectuels, politiques ignorent soigneusement et volontairement.
Qu’est ce que ce pigment mélanine dont les noirs sont bien pourvus et dont les blancs sont carencés ? Qu’est-ce que la mélanine ?
« Les Blancs savent tout de la mélanine et de la grandeur qu’elle peut produire. Ils sentent comme si c’était un danger pour eux.
La mélanine est un sujet très important. La majorité de notre peuple est en sommeil et ne voit pas la vérité et la réalité que les Caucasiens lui cachent.( N’oublions pas que depuis le 18è siècle, les leucodermes se sont saisis de tous les médias et les font mentir pour leur cause). Leur interprétation de la mélanine est en ce qu’elle est l’agent ayant pour activité principale de pigmenter notre peau, et rien d’autre. Il est vrai que la mélanine nous donne une pigmentation de la peau, mais ce n’est pas sa seule activité principale. La pigmentation n’est qu’une des tâches les plus simples qu’elle effectue ; les tâches les plus importantes ne sont jamais mentionnées, avec la crainte de réveiller et d’autonomiser les noirs.
La mélanine est la clé de notre survie, de notre humanité, de notre grandeur et de notre civilisation, de notre spiritualité, et même la clé de notre libération totale. »
Notre corps est totalement la réplique de l’univers, chaque produit chimique présent sur cette terre peut également être trouvé dans notre corps. La mélanine est également présente dans tous les coins de la nature.
Les qualités des Noirs : talents artistiques, sciences, qualités physiques, morales, spirituelles etc… résident dans cette substance que nous avons dans notre peau et notre cerveau : la mélanine.
Qu’est-ce que la mélanine ?
Cette matière noire que beaucoup ont appris à haïr et qui s’appelle Mélanine est composée de 6 protons, 6 neutrons et 6 électrons qui créent l’atome de carbone qui est la mélanine. 666 dans les cercles chrétiens est considéré comme la marque de la bête et dit être mauvais, cependant, 666 est la mélanine : fait à l’image de Dieu, donc ce nombre doit être considéré.
Outre le carbone, deux autres éléments sont importants pour la structure de la mélanine : le cuivre et le soufre. Le cuivre est incorporé dans la molécule de mélanine par l’acide aminé tyrosine. La tyrosine est un composé amino organométallique organisé autour du carbone, de l’azote et du cuivre. La formule chimique de la mélanine est C18H10N2O4, ce qui donne à la mélanine un poids moléculaire, ou masse molaire, de 318 grammes par mole (g / mol). (Voir chap être noir, la mélanine une bénédiction)
Selon le Dr Carol Barnes (bio-chimiste afro américaine) dans son livre, Mélanine : Melanin, the key to blackness : La mélanine, la clé chimique de la grandeur noire : « La mélanine est une molécule, mais une très grande molécule vivante compliquée et complexe. Elle a un poids moléculaire très élevé de plus de 200, ce qui signifie qu’une molécule de mélanine est composée d’une configuration tridimensionnelle de plus de 200 atomes individuels. C’est une molécule vivante, une substance chimique de la vie, et elle est chargée comme une batterie. En fait, elle fonctionne comme une batterie ou un super-conducteur, mais est résistante à la chaleur. La mélanine est responsable de la fabrication et du maintien de la vie et maintient l’humain noir en contact constant avec les énergies naturelles de l’Univers. La mélanine se trouve non seulement dans la peau, les cheveux et les yeux, mais elle est également contenue dans de nombreux autres organes vitaux du corps. On la trouve dans le système nerveux, la moelle épinière, les glandes, le cerveau, le sang, l’ADN, les muscles, les intestins, le cœur et le foie. Sa présence peut être trouvée dans la nature et se retrouve également dans beaucoup de nos aliments – plantes, graines, fruits et légumes. On la trouve aussi chez les animaux (plumes, poils), dans le sol, dans l’écorce des arbres, dans les rivières, les ruisseaux et les mers.
En expliquant l’importance et la signification de la mélanine dans la physiologie africaine, le professeur afro-américain T. Owens Moore, dans son livre « La science de la mélanine », compare les personnes noires aux plantes :
“Un corps humain noir est synonyme de chlorophylle dans les plantes. La chlorophylle fonctionne comme un convertisseur de l’énergie solaire. De même, la mélanine est un convertisseur d’énergie physique. Nous savons que de tels pigments sont essentiels pour maintenir la vitalité de la plante. Ainsi, aucune flore sans pigment n’existe sur cette planète. Les feuilles blanches n’existent pas. Le pigment chlorophylle est nécessaire pour toute la végétation. De même, la mélanine est importante pour la physiologie humaine. ” Oui, la même mélanine qui donne vie aux plantes qui poussent dans le sol est aussi une source de vie pour les humains. Au niveau moléculaire, les électrons des molécules de mélanine se déplacent et se réorganisent. Ils subissent ce qu’on appelle la résonance. Ce réarrangement des électrons provoque certains changements d’énergie dans le corps. Cette énergie est ensuite utilisée dans le métabolisme et l’organisation cellulaire.
Ce mot mélanine vient du grec melas qui veut dire noir. La mélamine est un Pigment de couleur foncée (allant du noir jusqu’au brun tirant sur le rouge) se trouvant dans la peau, les poils, les cheveux et la membrane de l’œil. La quantité de mélanine chez un individu dépend de plusieurs facteurs comme l’hérédité, le taux d’hormones ou certaines maladies (ex : Albinisme). La mélanine est produite par oxydation de l’acide aminé tyrosine, suivie de sa polymérisation. Le pigment est produit dans un groupe spécialisé de cellules appelées mélanocytes qui sont des cellules présentes dans la peau, l’œil, l’oreille interne (où ils sont suspectés d’avoir un rôle dans l’audition) et certains tissus internes (méninges, cœur, système digestif etc…).
Il existe trois types de mélanine: l’eumélanine, la phéomélanine et la neuromélanine.
L’eumélanine est le type le plus répandu de mélanine Elle est de couleur brune à noire, Son pouvoir de protection contre les dommages causés à l’épiderme par les rayons ultraviolets est total. On la trouve chez les personnes de teinte marron, noir, appelées mélanodermes.
La phéomélanine est de couleur plus claire (jaune à rouge) que l’eumélanine et est considérée comme responsable de la coloration rousse des cheveux, des cheveux blonds et des yeux bleus, de la peau blanche. Son pouvoir d’absorption des UV est inférieur à celui de l’eumélanine
Eumélanine et phéomélanine proviennent de l’activité des mélanocytes qui sont les cellules de la peau qui synthétisent la mélanine.
La neuromélanine C’est un type de mélanine présente dans les parties profondes du cerveau humain, dans la substance noire qui lui doit son nom ( substantia negra); elle provient de l’activité de la glande pinéale, située dans le cerveau ». Au sujet de cette neuromélanine dont le cerveau des noirs est riche, des scientifiques leucodermes disent que c’est un déchet inutile, mais n’est-ce pas grâce à cette substance que les enfants noirs ont les fonctions cognitives plus développés que leurs homologues blancs (observations de l’anthropologue leucoderme Margaret Meade) et que les noirs connaissent un développement plus important dans le domaine artistique, sportif, scientifique, culturel……Dans le cerveau des noirs, elle serait présente dans 12 endroits, alors que dans le cerveau des blancs on la trouverait dans 2 endroits. Elle joue un rôle majeur dans les fonctions du système nerveux; c’est un antioxydant qui peut prévenir les dommages cellulaires. Elle agit comme semi-conducteur en accroissant la vitesse d’impulsion des nerfs, elle peut fonctionner comme un transducteur électrochimique pour transformer des stimuli physiques en activité neuronale. En somme, cette matière noire dans le cerveau est un réseau moteur sensoriel hautement sensible. La quantité de neuromélanine dans le système nerveux est déterminée par les gènes.
La neuromélanine perfectionne le système nerveux de telle sorte que les messages émis par le cerveau atteignent plus rapidement le reste du corps chez les mélanodermes (les noirs)que chez les leucodermes (les blancs) ; c’est la raison pour laquelle l’abondance de ces pigments chez les personnes de peaux mattes à foncées les prédispose à être plus performants physiquement et psychologiquement..« C’est justement pourquoi les enfants noirs rampent, s’assoient, marchent et font preuve de facultés cognitives plus avancées que les enfants de type leucoderme, leur QI est plus élevé. Une étude a été réalisée sur des enfants de toutes les régions du monde âgés de 0 à 24 mois. Le but de l’étude était de déterminer s’il existait un lien génétique avec les capacités des personnes vivant sur la planète. À la surprise des observateurs européens, l’enfant africain a dominé à tous égards son homologue caucasien.
La conclusion de cette étude et d’autres études comparatives, portant sur des enfants noirs et blancs d’Afrique, d’Europe et d’Amérique, était que l’enfant africain est significativement plus avancé que l’enfant blanc jusqu’à au moins deux ans. Après cette période, la société intervient dans une nouvelle dimension de valeurs et d’intelligence. Et si ces nouvelles valeurs et ces nouveaux dogmes ne sont pas en harmonie avec les qualités naturelles et la culture de l’enfant, il se trouve piégé dans les gènes sans se manifester pleinement. Le mauvais régime alimentaire joue également un grand rôle dans le fait qu’un individu ne soit pas capable de manifester toutes ses qualités naturelles et données par Dieu » (Ces observations sur le développement des enfants sont constatées quotidiennement par le personnel de crèches auprès des bébés noirs et blancs, mais il est interdit de les relever, le noir devant toujours paraitre inférieur devant le blanc).
D’autre part, dans une expérience menée avec des Australiens indigènes, des enfants des îles Mélanésiennes noirs et des enfants blancs anglo-saxons aux États-Unis, la célèbre anthropologue Margaret Meade a révélé que la «banque de souvenirs» des enfants noirs était plus grande et leur «capacité de rappel instantané» de la mémoire, exceptionnelle. Elle, comme la plupart des chercheurs renommés, a conclu que les enfants noirs ont une banque de mémoire plus profonde et donc un QI plus élevé que leurs homologues européens et américains ; ils ont attribué ce grand phénomène à la «neuro-mélanine» – un produit responsable de la couleur noire dans le cerveau.
Les mélanodermes ont un champ auditif plus vaste que les personnes de race blanche, surtout au niveau des basses fréquences. En outre, il se trouve que la couleur de l’iris est un signe crucial du degré de pigmentation dans l’organisme ; d’autre part, plus il est noir, plus il confère à son détenteur des facultés auditives plus élevées.
Par contre, la glande pinéale étant souvent calcifiée chez la majorité des leucodermes, la mélanine y est faiblement produite. « Lorsque les Blancs ont muté dans leurs conditions actuelles, ils ont développé une substance osseuse, le calcium, sur leur glande pinéale, les limitant ainsi à une quantité minimale de mélanine, leur glande pinéale n’est pas fonctionnelle. « La mélanine est ce qui rend les gens humains, elle les relie aux forces créatrices de l’univers »
Cette calcification de leur glande pinéale explique leur problème de densité osseuse occasionnant des soucis d’ostéoporose (c’est-à-dire une décalcification de leurs os) plus fréquents chez les femmes ménopausées blanches que chez les africaines. D’ailleurs, d’après les études du Dr Carol Barnes, la calcification pinéale touche 5 à 15% des africains, 15 à 25% des asiatiques, et 60 à 80% des occidentaux.
En outre, la mélanine est un canal de transmission d’énergie à tous les récepteurs sensoriels que sont l’œil (la vision), l’oreille (l’ouïe), les cordes vocales (la voix), la langue (le goût), le nez (l’odorat), la peau(chez les noirs elle est plus lisse, plus douce, plus élastique, surtout vieillit moins vite). Les problèmes d’ouïe, de vue sont bien plus fréquents chez les leucodermes que chez les mélanodermes, spécialement quand ils prennent de l’âge. La mélanine influe sur la gravité, l’équilibre, la masse musculaire et la coordination des mouvements : c’est pourquoi les mélanodermes sont par essence les meilleurs danseurs, les meilleurs athlètes, etc…(ex équipe de France lors de la coupe du monde de football 2018, JO 2024)
Quelques Propriétés de la mélanine
- # La mélanine est la clé chimique de la vie.
- # La mélanine est un ingrédient clé de l’ADN des gènes et protège le noyau de l’ADN.
- # La mélanine joue un rôle central dans le contrôle de toutes les activités physiques et mentales.
- # Les granules de mélanine sont des «ordinateurs centraux» et peuvent analyser et déclencher des réactions corporelles et des réactions sans rapport avec le cerveau.
- # La mélanine est un antioxydant qui détruit les radicaux libres (qui sont un facteur majeur de vieillissement).
- L’absence de mélanine (neuromélanine) est directement liée au dysfonctionnement du système nerveux central alors que la présence de mélanine est directement associée au bon fonctionnement du système nerveux central.
Le nombre de séquences d’ADN nettement plus important chez les noirs : une découverte cachée par les scientifiques leucodermes sur l’ADN: La corrélation entre nombre de séquences d’ADN et capacités des races dans les domaines physique, psychologique, intellectuelle etc…
En 1996 un groupe de 15 chercheurs généticiens de diverses universités occidentale, des usa, du japon et de Chine ont diffusé dans un document intitulé : « Global Patterns of Linkage Disequilibrium at the CD4 Locus and modern human origins » les résultats de recherches effectuées après diverses observations de l’ADN des singes et des personnes de race blanche et jaune des Usa, d’Europe, de Chine, du Japon, d’afro-américains et Africains. Leurs recherches ont abouti aux résultats suivants :l’ourang-outang a 3 Séquences d’ADN, les gorilles en ont 4, les chimpanzés en ont 5, les humains de race blanche et jaune des différents pays d’Europe, d’Usa, du Japon de Chine en ont 6. Par contre les noirs bien teintés qu’ils proviennent d’Afrique ou des Usa en ont 9. Ce nombre de Séquences d’ADN explique la supériorité des noirs dans tous les domaines aussi bien scientifique que sportif. Plus une personne a de Séquences d’ADN plus elle est douée. Il explique aussi leur forte résilience aux épreuves terribles qu’ils ont enduré de la part des blancs ex : 400 ans d’esclavage ainsi que leur résistance aux maladies. Il explique aussi pourquoi la race noire est dominante et la race blanche récessive. Ce secret est notre MELANINE. Outre la peau, le cerveau, les organes, tous les tissus, la mélanine se trouve aussi dans notre sang. Vous avez une nouvelle preuve de la raison pour laquelle les blancs mettent une omerta sur le mot mélanine alors qu’ils l’utilisent dans leurs cosmétiques, leurs médicaments, en informatique pour sa conductibilité.
Voyons les explications que donnent les leucodermes sur cette domination des noirs dans le sport
Aux Etats-Unis, où la controverse sur l’inégalité des races est toujours sous-jacente, la supériorité évidente des athlètes d’origine africaine est un sujet tabou. Mais un nouveau livre, en avançant une explication d’ordre génétique, vient s’attaquer à ce débat explosif.
Le gène du sprint”
En 361 pages de son ouvrage intitulé « Pourquoi les blancs courent moins vite », Jean-Philippe Leclaire revient “sur ce qu’on sait et sur ce qu’on ne sait pas encore” du lien entre la performance sportive et la couleur de la peau. Entre les “certitudes” et les “hypothèses”, l’auteur passe en revue un éventail des théories scientifiques des plus fantaisistes aux moins crédibles : le soi-disant “relâchement inné” des sprinters noirs, la prétendue plus grande longueur des fémurs des coureurs kényans, la peau plus fine et les viscères moins encombrants, l’héritage de l’esclavage, de la traite négrière, le gène du sprint, …
Résultat des courses : pour lui, il n’y a plus aujourd’hui de doute possible. “La performance sportive est largement déterminée par le génétique” : l’ACTN3 (l’alpha-actinine 3), le prétendu “gène du sprint”, a été découvert pour la première fois en 2003 par des chercheurs australiens. Un gène présent chez tous les êtres humains sous deux formes : RR, pour la vitessse, RX pour l’endurance.
Selon le site web Cairn.info. Au XIXe siècle, les théories raciales sur l’intelligence eurent recourt à la biologie et à la récupération des travaux du naturaliste britannique Charles Darwin sur la genèse des différentes espèces animales [10][10]Cf. Hofstadter, Richard. 1972 [1944]. Social Darwinism in…. Appliqués au genre humain par l’ingénieur et philosophe britannique Herbert Spencer et par le statisticien britannique et cousin de Darwin, Francis Galton, les concepts de sélection naturelle et de lutte pour la vie (devenus « survie des plus aptes » sous la plume de Spencer) furent au fondement du « darwinisme social » et de l’« eugénisme » importés et développés aux Etats-Unis au tournant des XIXe et XXe siècles [11][11]Cf. Hofstadter, Richard. Op. cit., p. 51-84, et Kelves, Daniel…. A l’orée du XXe siècle, le discours raciste aux Etats-Unis portait donc essentiellement sur la mesure des différences intellectuelles censées « naturellement » résulter de l’adaptation diverse des « races » au monde physique et social [12][12]Cf. Gould, Stephen Jay. 1997 [1981]. La Mal-mesure de l’homme,…. Le but affiché de l’analyse des aptitudes intellectuelles des groupes raciaux aux Etats-Unis était de préserver une « race blanche » considérée comme menacée par l’émancipation des « noirs » et l’immigration massive d’Européens du Sud et de l’Est à une époque où nativisme, darwinisme social et eugénisme se développaient de concert [13][13]Sur ces questions, cf. Higham, John. 2004 [1955]. Strangers in…. Au travers de tests censés mesurer le « quotient intellectuel », ou Q.I., il s’agissait de fournir des résultats objectifs et précis sur lesquels s’appuyer pour mesurer scientifiquement l’intelligence « innée » des individus et des groupes humains et, ainsi, rationaliser l’exclusion des « noirs » de la vie civique et la réduction drastique des flux migratoires [14][14]Sur les tests de Q.I. et la réification, la quantification et….
Le centre de masse (comprenez centre de gravité) est en moyenne 3% supérieur chez les athlètes noirs. Ce qui apparemment les avantagerait dans les épreuves de sprint. En revanche, les athlètes blancs possèdent un tronc en moyenne 3 cm plus grand que celui des noirs. Ce qui explique leur domination en natation grâce à une meilleure portance. En presque 90 ans, le record du monde du 100 m nage libre a toujours été battu par un blanc.
Cette étude est avant tout mathématique et statistique. “Ça reste une belle hypothèse. C’est vrai que c’est interpellant de savoir que les noirs dominent systématiquement les épreuves de sprint. Mais, cette hypothèse n’a pas été vérifiée sur le terrain“, souligne Marc Francaux, professeur en physiologie de l’exercice à l’UCL.
Ce n’est pas la première explication du genre. Le monde scientifique a déjà avancé de nombreuses thèses. “Il y a eu des explications morphologiques, d’autres physiologiques. On disait que les noirs avaient plus de testostérone. On a avancé des causes sociologiques où le sport servait d’ascenseur social et donnait accès aux universités. Ce qui expliquerait la surreprésentation des athlètes noirs. Mais, généralement quand il y a beaucoup d’explication, c’est qu’on n’a pas encore trouvé la solution“, confie Gilles Goetghebuer, rédacteur en chef de Sport et Vie.
L’histoire du sport est remplie de contre-exemples. En 1988, le nageur noir Anthony Nesty a remporté le titre olympique sur 100m papillon. Côté blanc, l’italien Pietro Mennea (19”72) a détenu le record du monde du 200m pendant 17 ans. Et en 2010, le français Christophe Lemaître est devenu le premier blanc à descendre sous les 10 secondes au 100m.
Scientifiquement, les concepts noirs et blancs restent très vagues. Le record national du 100m au Kenya est par exemple de 10”28. Ce qui est très lent par rapport aux meilleurs de la discipline. Il y a donc différentes populations d’athlètes noirs. Parler de race reste très controversé dans des disciplines qui se veulent universelles. On dira sans doute qu’il existe une prédisposition incroyable pour le sprint des athlètes originaires de l’Afrique de l’ouest. Mais, ça reste encore à démontrer.
En haltérophilie, Iron Biby, de son vrai nom Cheick Ahmed al-Hassan Sanou, né le 20 avril 1992 à Bobo-Dioulasso, est un sportif Burkinabè. Il porte le titre de l’homme le plus fort du monde après avoir soulevé une charge de 231 kg en 2024. Il est le premier Africain à remporter le championnat de Log Lift
Le gène du sprint existe-t-il ?
Depuis près d’un siècle, les Noirs dominent l’athlétisme. Pour Jean-Philippe Leclaire, auteur de “Pourquoi les Blancs courent moins vite”, un gène du sprint, l’ACTN 3, serait l’explication de cette performance sportive. Mais pas seulement.
Selon le site web Cairn.info : C’est donc par l’étude « scientifique » du « corps noir » qu’est passée la rationalisation biologique des succès sportifs africains-américains. A partir de la fin des années 1920, une trentaine d’enquêtes doublées de tests de laboratoire furent réalisées afin de mesurer les caractéristiques corporelles des « noirs » et d’expliquer leur particularisme supposé [30][30]Sur ces enquêtes, cf. Sailes, Gary A. 1991. « The Myth of Black…. Le futur quadruple médaillé d’or aux Jeux Olympiques de Berlin en 1936, Jesse Owens, fut ainsi examiné en détail par W. Montague Cobb, le spécialiste africain-américain d’anthropologie physique à l’université Howard [31][31]Cf. Cobb, W. Montague. 1936. « Race and Runners », The Journal…. Même si les résultats de sa célèbre étude réfutaient l’idée selon laquelle l’anatomie des « noirs » serait la cause leurs succès dans les épreuves de course et de saut (à l’été 1936, Owens avait remporté le 100 m, 200 m, relais 4 x 100 m, et le saut en longueur des J.O. de Berlin), sa voix resta isolée tant les autres études soit confirmèrent des préjugés séculaires en insistant sur les différences suggérant que l’anatomie et la physiologie du corps des Africains et de leurs descendants seraient un atout essentiel à l’origine de leurs performances, soit furent déformées par la presse. Peu à peu s’est ainsi imposée l’idée qu’il existerait un « phénotype sportif noir » parfaitement adapté à l’exercice physique : doté de hanches et d’une taille étroites, de longs membres, de grosses cuisses, de ligaments souples et de muscles élastiques, de gros orteils divergents et de talons saillants, d’une ossature dense, de tissus adipeux fins, etc., le « noir » serait, sur un terrain de sport, un adversaire littéralement hors-normes et donc un compétiteur hors-pair pour un « blanc ». Les « noirs » auraient ainsi des « aptitudes athlétiques » spécifiques permettant des performances exceptionnelles. Ces enquêtes passaient évidemment sous silence les contre-performances des sportifs « noirs » qui venaient contredire leurs données et surtout n’expliquaient jamais le bien-fondé de la généralisation des résultats sportifs de quelques athlètes africains-américains à l’ensemble de la population africaine-américaine, ni le passage problématique de la notion de performance à celle d’aptitude.
15Quoi qu’il en soit, au cours du XXe siècle ces résultats furent popularisés par la presse et les activistes africains-américains des années 1960 et 70 qui participèrent largement au renversement du préjugé négatif sur l’absence d’« aptitude » des « noirs » pour le sport et à la naturalisation de leurs succès [32][32]Sur ce renversement du préjugé et les thèses des articles de…. Le nouveau préjugé pouvait désormais se lire ainsi : les « noirs » sont naturellement doués pour l’activité physique et, précisément, n’ont strictement aucun mérite à cela. Leurs avantages anatomiques et physiologiques en feraient des sportifs-nés. Travail, courage, persévérance seraient autant de vertus étrangères au sportif « noir » doté d’une force animale innée [33][33]Sur l’étude de ce discours, cf. entre autres, Bass, Amy. 2002.…. Parallèlement à cette force animale, le « noir » aurait le « rythme dans la peau ». La danse, certains sports comme le basket-ball, et la musique d’improvisation comme le jazz, seraient donc typiques des « noirs » [34][34]Pour la danse, cf. par exemple, Miller, Patrick B. Art. cit.,…. Jusqu’à aujourd’hui, les vulgarisateurs les plus conservateurs de cette pseudo-science, comme Dinesh D’Souza, purent ainsi faire mine de se demander : Pourquoi des groupes avec une couleur de peau, une forme de crâne, et d’autres caractéristiques visibles différentes devraient-ils s’avérer identiques sur le plan de leur capacité intellectuelle ou de leur capacité à bâtir une civilisation avancée ? Si les noirs ont certaines aptitudes héritées, telles que la prise de décision improvisée, cela pourrait expliquer pourquoi ils prédominent dans certaines disciplines comme le jazz, le rap, et le basket-ball, et pas dans d’autres comme la musique classique, les échecs, et l’astronomie » [35][35]D’Souza, Dinesh. 1995. The End of Racism: Principles for a….17Relativement courant aux Etats-Unis, ce type de texte est représentatif de la diffusion des clichés racistes les plus anciens : « noirs » = nature, inné, corps, instinct, etc. ; « blancs » = culture, acquis, esprit, réflexion, etc.
Au sujet des Africains et de leurs descendants, l’important pour l’auteur est de montrer que grâce à un développement physique plus précoce que les autres « races » (cf. p. 249-51 [53][53]Sur le cliché du développement physique et sexuel plus précoce…) et à un phénotype particulier, les descendants d’Africains seraient particulièrement performants à la course et au saut : ils seraient naturellement plus rapides que les « blancs », eux-mêmes plus rapides que les Asiatiques (p. 279). Là dessus, la « science » serait très claire : « la preuve scientifique de la supériorité athlétique noire est écrasante et en accord avec ce que l’on voit sur le terrain de jeu » (p. 341, je souligne). L’ouvrage présente ainsi la liste classique de leurs supposés avantages phénotypiques : longueurs des membres, taille étroite, etc. (cf. p. 268-9). Pourtant, tous les « noirs » ne seraient pas identiques : Africains de l’ouest (du Sénégal à la Namibie) et Africains du nord et de l’est (du Maroc à l’Algérie, de l’Ethiopie à l’Afrique du Sud) auraient évolué de manière différente [54][54]Rien n’est dit sur la Lybie et l’Egypte, ni sur les pays dans…. Les premiers, grâce à leur phénotype musculeux, à leur important taux de testostérone et de fibres musculaire rapides (fast-twitch muscle fibers [55][55]Sur les problèmes que posent les études sur la différence entre…), à leurs réflexes, et à leur fatigue après une minute d’efforts intenses, seraient faits pour les sports anaérobiques (demandant une énergie explosive et de courte durée). Le basket, le sprint, le football américain, même le bobsleigh leur conviennent beaucoup mieux que les sports d’endurance comme la course de fond, le cyclisme, la natation (où d’ailleurs les « noirs » « coulent », à cause de leur importante masse osseuse, p. 282-3). Ils seraient ainsi les meilleurs sprinters et sauteurs du monde. Inversement, les Africains du nord et de l’est seraient bien meilleurs pour les efforts aérobiques (c’est-à-dire d’endurance et consommant beaucoup d’oxygène et d’énergie) grâce à leur phénotype maigre, leur grande capacité pulmonaire, leurs nombreux capillaires apportant l’oxygène à de nombreuses fibres musculaires lentes (low-twitch muscle fibers) contenant de nombreuses mitochondries. Pour ces raisons, les seconds seraient les meilleurs coureurs de fond de la planète. Plus précisément, les Africains de l’ouest seraient faits pour le sprint, ceux du nord pour les distances moyennes de demi-fond, et ceux de l’est pour les longues distances. Malgré leurs différences, les uns et les autres seraient « naturellement » relâchés, calmes et placides, ce qui, en sus de leurs « aptitudes » innées, donnerait naissance à une « esthétique athlétique noire » (cf. p. 66, 175, 265-6) [56][56]Sur le stéréotype du « relâchement » des Africains, cf.….
27A tous les égards, les « noirs » seraient donc une population à part : la grande diversité génétique en Afrique (cf. p. 92, 116) montrerait finalement que « la délimitation génétique la plus tranchée sur la planète est celle entre les populations sub-sahariennes et le reste du monde » (p. 113, et 92, 115). D’ailleurs, la variété génétique serait la preuve même de l’homogénéité de la « race » africaine [57][57]Le flou total de la notion de « race » (reconnu par Entine)…. Ainsi, d’après l’auteur, rien n’exclurait le polygénisme puisque les différentes « races » humaines « pourraient » avoir existé avant même l’apparition d’Homo Sapiens. Utilisant la « théorie personnelle de la différenciation raciale » de Henry Harpending, anthropologue controversé exerçant à l’université d’Utah et membre du Human Biodiversity Institute, Entine suggère en conclusion que « blancs » et « noirs » pourraient ne pas appartenir tout à fait à la même espèce (p. 116, je souligne).
28Les Européens et leurs descendants (ou Caucasiens ; cf. p. 269 et les articles mentionnés de Entine), en termes d’endurance et de vitesse, se situeraient entre les Africains de l’ouest et de l’est. Leur force naturelle viendrait du haut du corps (large et musculeux) plutôt que des jambes (relativement courtes). D’où leur domination de l’haltérophile, de la lutte, du rugby, et de toutes les épreuves d’athlétisme sans course (lancer du poids, du disque, du javelot et du marteau). Ils seraient plus forts que rapides.
29Les Asiatiques et leurs descendants (cf. p. 21, 283-4), petits et trapus en général, avec des membres courts, de longs torses et une couche graisseuse sous-cutanée importante seraient plus lents et moins forts, courraient moins vite et sauteraient moins haut que les « noirs » et les « blancs », mais auraient de très bons réflexes et seraient plus souples – un avantage pour les arts martiaux, le plongeon, la gymnastique, le patinage artistique et les sports de raquettes. D’où la justesse, selon l’auteur, de l’expression populaire de langue anglaise « Chinese splits » (grand écart).
Le fait est qu’une frange de la population défavorisée et noire, du fait d’une propagande historique, est cantonnée au sport (ou à la musique). Et ils se battent bec et ongles pour réussir. D’où un investissement colossal. C’est une question de mentalité, sur les plans gouvernemental ou personnel. Le Kenya et la Jamaïque en ont fait une politique nationale. Ce n’est pas mauvais en soi, mais ces investissements doivent être élargis à d’autres sphères d’activité.
Des sports de Blancs ?
Certains sports requièrent plus de moyens, et offrent peu de modèles aux franges plus défavorisées, qui se trouvent souvent à être noires. Voilà comment s’opère la sélection.
Que faire de Tiger Wood, si le golf était un sport de Blancs ? Et le tennis ? S’il était si blanc, il n’y aurait sûrement pas eu Gabriel Monfils, Yannick Noah et, avant eux, le légendaire Arthur Ashe.
Si le patinage ne pouvait être noir, où placer l’étoile Surya Bonaly ? Si le hockey était blanc, que faire de Pernell Karl Subban ? Tout cela n’a rien de biologique. C’est un contexte économique favorable, doublé d’une croyance sociale bien acquise et assise, qui explique leurs succès.
Le bagage génétique des Afro-Américains
Et si certains persistent à propos des qualités athlétiques des Noirs des États-Unis, concédons leur que cela aurait pu avoir quelques origines génétiques. Leurs ancêtres, vendus comme esclaves, étaient choisis selon une minutieuse sélection pour leurs atouts physiques.
Si cette réflexion est plausible, elle reste à prouver. Notez que dans le basketball, moins de trois joueurs sur 1000 se rendent jusqu’à la NBA. Le plus haut taux de participation de Noirs dans le circuit a été durant la saison 94-95, avec 72 % d’athlètes noirs. Autrement dit, il y en avait bien 28 % non issus de la communauté noire.
Dans son livre « Pourquoi les blancs courent moins vite » l’auteur a plusieurs fois fait référence : je cite l’héritage de l’esclavage, la traite négrière pour expliquer la supériorité des noirs dans le sport. Ne serait ce pas là une occasion pour utiliser des propos racistes afin de rabaisser le noir en rappelant que nous avons été leurs esclaves et avons subi de leur part la traite négrière. Je pense que nous devons nous montrer plus actifs dans nos demandes de réparations de ces énormes préjudices subis pendant plus de 300 ans.
Pourquoi les noirs sont-ils plus rapides que les blancs ?
Le Jamaïcain Usain Bolt a remporté une nouvelle médaille d’or au 200m. Christophe Lemaitre, seul blanc de la finale, n’arrive qu’à la 6e place.
Pas un seul athlète blanc ne s’est placé sur la ligne de départ pour la finale du 100m depuis les Jeux Olympiques de 1984. Sur les 80 sprinters qui sont passés sous la barre des 10 secondes pour sur le 100m, 78 sont originaires d’Afrique de l’Ouest.
Il est tentant de dire d’une façon générale que les noirs courent donc plus vite que les blancs. Pourtant, les différentes études distinguent les noirs d’Afrique de l’Ouest de ceux d’Afrique de l’Est. Si les premiers dominent le sprint, les autres sont les maîtres du marathon, deux disciplines aux exigences très différentes.
Mais les avis des chercheurs divergent sur les raisons de cette domination sportive. S’agit-il de facteurs socio-culturels, morphologiques, géographiques ou encore génétiques ?
Un sujet très sensible car fonder la performance des athlètes sur des critères biologiques comporte un risque d’exploitation raciste, comme l’Histoire l’a hélas montré par le passé.
. Un système de sélection et de formation précoce
Les études sont unanimes pour constater que les Jamaïcains dominent le sprint tandis que les Kenyans et les Éthiopiens survolent les épreuves d’endurance.
Les habitudes culturelles
Pour le chercheur suédois Bengt Saltin, les Kenyans parcourent une dizaine de kilomètres par jour dès l’âge de 7 ans, le pays manquant cruellement de transports publics (peu de bus scolaires). Habitués à courir dès leur plus jeune âge, ils développent des aptitudes physiques exceptionnelles.
Une géographie propice
Une dernière explication environnementale accorde une certaine importance à la géographie. S’entrainer en altitude donnerait un avantage aux Kenyans ensuite plus à l’aise en plaine.
L’altitude favorise l’augmentation du nombre de globules rouges dans le sang, ce qui améliore le traitement de l’oxygène par l’organisme. Cela améliore ponctuellement l’endurance des sportifs, mais cela n’explique pas tout.
Un « gène du sprint » ?
« Je suis de ceux qui pensent que les facteurs socio-culturels donnent une grande partie de la réponse, mais qu’il doit aussi y avoir d’autres explications, et l’hypothèse de la génétique est la plus séduisante » confie Jean-Philippe Leclaire.
En 2003, des scientifiques auraient découvert le « gène du sprint ». Le gène ACTN3 favoriserait l’explosivité des fibres musculaires. Ce gène existe sous 3 formes : forte, faible ou nulle et les Jamaïcains seraient plus souvent porteurs du gène fort.
Problème : ce gène est aussi répandu chez les marathoniens d’Afrique de l’est (Kenya, Ethiopie). Il n’explique donc pas la « spécialisation » sportive des coureurs de ces deux régions.
« Ce gène ne se suffit pas en lui-même. Il y a près de 200 gènes qui entreraient dans une explication génétique des performances sportives. Il s’agit en fait de combinaisons génétiques très compliquées » explique Jean-Philippe Leclaire. « La génétique n’en est qu’à ses balbutiements » ajoute le journaliste.
Une morphologie favorable
« Noirs costauds » et « Blancs intelligents » : comment le sport entretient les préjugés raciaux
Le fichage ethnique au PSG, révélé par les « Football Leaks », rappelle que le sport a souvent fait le lien entre couleur de peau et compétences présumées.
Quaterback ou entraîneur, des postes stratégiques réservés aux Blancs
La sociologie américaine a observé de longue date un lien entre couleur de peau et place d’un joueur sur le terrain. Dans le football américain, « très longtemps, la NFL a pratiqué une ségrégation par les postes, disait au Monde en 2016 Jeffrey Montez de Oca, professeur de sociologie à l’université du Colorado. Plus on se rapprochait du centre de l’équipe – et des postes de décision – et moins il y avait de joueurs noirs ».
Une chaîne « pensante » majoritairement blanche
Après un siècle de stéréotypes véhiculés notamment par la presse sportive, certaines croyances disparaissent très lentement. Mais les sportifs noirs occupent une place marginale dans les postes de direction.
Après lecture des différentes explications ci-dessus que constatez-vous ?
Eh bien les mots mélanine, neuromélanine ne sont pas évoqués une seule fois. Reconnaissez par vous-même l’omerta totale sur ces mots. Pourquoi ? Les blancs n’ont pas de mélanine et leur cerveau organe déclencheur de toutes les capacités nerveuses qui favorisent et permettent la rapidité des efforts physiques et mentaux est carencé en la substance neuromélanine. Je rappelle que la neuromélanine est le pigment de couleur foncé situé dans le cerveau et fabriqué par la glande pinéale située entre les 2 hémisphères du cerveau. Dans le cerveau des noirs elle est dans 12 endroits alors qu’elle serait dans 2 endroits dans celui des blancs. Elle joue un rôle majeur dans les fonctions du système nerveux; c’est un antioxydant qui peut prévenir les dommages cellulaires. Elle agit comme semi-conducteur en accroissant la vitesse d’impulsion des nerfs, elle peut fonctionner comme un transducteur électrochimique pour transformer des stimuli physiques en activité neuronale La substance noire du cerveau très mélaninée produit un développement psychomoteur plus avancé chez les noirs les plus teintés. La mélanine influe sur la gravité, l’équilibre, la masse musculaire et la coordination des mouvements : c’est pourquoi les mélanodermes sont par essence les meilleurs danseurs, les meilleurs athlètes. On le constate aux différentes compétitions sportives, notamment récemment aux JO de 2024.
La neuromélanine est un type de mélanine présente dans les parties profondes du cerveau humain, appelée substance noire (substantia negra). Ce pigment est produit par la glande pinéale située entre les 2 hémisphères du cerveau. Cette glande peut atteindre la taille du pouce chez les noirs. La glande pinéale étant souvent calcifiée (atrophiée) chez la majorité des leucodermes (les blancs), la mélanine y est faiblement produite. D’après les études du Dr Carol Barnes biochimiste afro-américaine, la calcification pinéale touche 5 à 15% des africains, 15 à 25% des asiatiques, et 60 à 80% des occidentaux.(voir chap :Albinisme, création de l’homme blanc)
Les qualités des Noirs : talents artistiques, sciences, qualités physiques, morales, spirituelles etc… résident dans cette substance que nous avons dans notre peau et notre cerveau : la neuromélanine.
En causant une superconductivité, la neuromélanine permet aux messages de passer vite, sans rien qui puisse leur faire obstacle, elle permet au cerveau de stocker davantage d’informations et de fonctionner à un niveau élevé.
Cette superconductivité de la neuromélanine avec sa présence est le facteur déterminant qui favorise chez les noirs leur endurance, leur vitesse dans le sport et leur permet de courir plus vite que les blancs. Mais comme vous le constatez ce mot n’est strictement jamais évoqué par les médias blancs et est couvert par une véritable omerta parce que les leucodermes ayant toujours dominé les noirs par la violence psychologique, physique grâce aux armes et en utilisant les mensonges ne veulent pas utiliser un terme qui démontrerait leur infériorité devant les noirs dans le sport .
Car, Les Blancs savent tout de la mélanine et de la grandeur qu’elle peut produire. Ils sentent comme si c’était un danger pour eux.