EXTRAITS DE LIVRES AFRO-AMERICAIN SUR LA MELANINE
La mélanine est un bio pigment essentiel ; ce produit chimique noir de la vie est trouvé dans le corps de tous les humains noirs : la peau, les yeux, le cerveau, les glandes endocrines, le sang, le cœur, les poumons, le trac gastro intestinal, les reins, le trac urogénital, les organes sexuels
Livre « Melanin a key to freedom « par Richard King La mélanine une clé vers la libération (extraits)
La mélanine et le cerveau, la neuromélanine
Dans le tronc cérébral humain (c’est l’organe qui relie le cerveau à la moelle épinière) il y a 12 centres riches en mélanine, le plus fortement pigmenté est le locus cœruleus. C’est de cette région que partent la grande majorité des neurones qui utilisent la noradrénaline comme neurotransmetteur1. Sa couleur bleue est due à la présence de granules de mélanine, Il contient la moitié de tous les neurones qui utilisent la noradrénaline (ou norépinéphrine), un neurotransmetteur qui régule le rythme cardiaque, l’attention, la mémoire et la cognition. Par son très grand nombre de connexions, le locus cœruleus est impliqué dans de nombreux effets naturels, Il joue un rôle dans la mémoire et dans les émotions, il a un impact sur l’apprentissage, le comportement et la santé mentale.
La mélanine et l’œil
L’épithélium pigmentaire rétinien (RPE) est une couche de cellules épithéliales cuboïdes placées entre la choriocapillaire et le segment externe des cellules photoréceptrices.
L’œil humain est composé de plusieurs couches de tissus pigmentés qui ont en composant la mélanine. Dans l’œil, on peut séparer des mélanosomes d’origines embryonnaires diverses. Les cellules pigmentaires du stroma de l’iris, du corps ciliaire et de la choroïde (mélanocytes uvéaux) sont des dérivés de la crête neurale. D’autre part, les cellules épithéliales pigmentaires ciliaires, iris et rétiniennes sont développées à partir de l’ectoderme neural. Un rôle universellement accepté de la mélanine est de réagir en tant que filtre de densité neutre dans la diffusion de la lumière. La mélanine agit comme un stabilisateur de radicaux libres et a la capacité d’absorber le proche infrarouge, la lumière visible et les rayons UV.
Cet article passe en revue les connaissances actuelles sur la mélanine oculaire, y compris la mélanogénèse oculaire, les rôles de la mélanine dans les processus métaboliques rétiniens et certaines techniques d’imagerie qui identifient la mélanine dans la rétine.
Introduction
La morphologie du globe oculaire humain peut être fractionnée en trois tuniques de base : la tunique fibreuse, également appelée tunique fibrosa oculi (cornée et sclère), la tunique vasculaire ou « uvée » (iris, corps ciliaire et choroïde) et la tunique nerveuse (rétine) [1,2]. La mélanine est normalement présente dans la couche uvéale et l’épithélium pigmentaire rétinien (RPE). Les mélanocytes du corps ciliaire et de l’iris sont identifiés dans le stroma. Les mélanocytes choroïdiens sont situés dans le stroma choroïdien et l’espace suprachoroïdien. La fonction des mélanocytes choroïdiens n’est pas encore totalement élucidée [3-6]. La mélanine est également présente dans les cellules de l’épithélium pigmentaire [1]. Le pigment de mélanine est synthétisé dans un groupe spécialisé de cellules également appelées mélanocytes. La mélanine est produite par une voie chimique complexe Son précurseur de synthèse est un acide aminé aromatique : l’α-tyrosine.
Rôle photoprotecteur de la mélanine dans l’épithélium pigmentaire rétinien humain EPR
La mélanine est un absorbant efficace de la lumière infrarouge, de la lumière visible et du rayonnement ultraviolet. Le pigment de mélanine peut annihiler plus de 99,9 % du rayonnement UV absorbé . Au pôle antérieur du globe oculaire, les mélanocytes bloquent la lumière visible et infrarouge et le rayonnement ultraviolet. Au pôle postérieur (RPE), les mélanosomes diminuent le stress photo-oxydatif et agissent comme un bouclier contre la lumière diffusée. La mélanine est un stabilisateur de radicaux libres et peut éliminer de nombreuses toxines.
Le pigment de mélanine se trouve normalement dans la couche uvéale et l’EPR, et agit comme un défenseur des cellules photoréceptrices pour maintenir la santé rétinienne. Les granules de mélanine dans l’épithélium pigmentaire rétinien (EPR) ont de nombreuses fonctions importantes, qui n’ont pas encore été complètement élucidées. La mélanine protège les cellules des dommages causés par le stress oxydatif. Ce pigment est compétent pour stabiliser les radicaux libres et diminue la peroxydation des lipides cytotoxiques. Ainsi, la mélanine diminue la toxicité lumineuse et protège contre les impacts cytotoxiques causés par les processus inflammatoires. La mélanine a la capacité d’absorber la lumière infrarouge, la lumière visible et le rayonnement ultraviolet.
L’épithélium pigmentaire rétinien (EPR) est naturellement intensément pigmenté.
Rôles majeurs de l’épithélium pigmentaire rétinien
– Phagocytose des disques photorécepteurs du segment externe,
– Transport des nutriments et des ions vers les photorécepteurs,
– Régénération pigmentaire visuelle,
– Diminution de la diffusion de la lumière,
– Barrière hémato-rétinienne, La barrière hématorétinienne sert à la protection et à l’homéostasie de la rétine et du vitré.
– Synthèse et maintenance de la matrice interphotoréceptrice,
– Synthèse et sécrétion de facteurs de croissance,
– Modulation immunitaire
La mélanine et l’oreille
La mélanine présente dans tout le corps humain, dans tous les organes, tous les tissus est évidemment présente dans l’oreille interne ; elle est impliquée de manière critique dans l’audition. Les noirs ont une meilleure ouïe que les blancs, ils ont un meilleur seuil auditif et une plus grande capacité à entendre des sons haute fréquence, ils entendent une plus large gamme de sons en particulier les sons de basses graves.
Il est souligné que la mélanine est capable de lier le calcium et peut agir comme un système tampon.
Cette loi universelle concerne le rôle de la mélanine en tant que vecteur translationnel énergétique qui s’applique à la plupart des organes récepteurs sensitifs que ce soit la peau (sens, toucher, gravité), l’œil (vision), l’ouïe (le son) le gout, l’odeur et leurs expansions extrasensorielles correspondantes de l’âme.
La mélanine noire est un bio pigment essentiel ; ce produit chimique noir de la vie est trouvé dans le corps de tous les humains noirs : la peau, les yeux, le cerveau, les glandes endocrines, le sang, le cœur, les poumons, le trac gastro intestinal, les reins, le trac urogénital, les organes sexuels…..Evidemment la mélanine est présente dans l’oreille et est essentiellement impliquée dans l’audition; les noirs ont une capacité plus grande que les blancs pour entendre les sons, spécialement en haute fréquence. Les personnes noires ont une gamme de sons plus large que les européens , en particulier les sons de basses graves. Plus l’iris de l’oeil est noir, plus l’oreille intérieure est riche en mélanine et plus grande est la capacité d’entendre la lumière sonore. Cette loi universelle concerne le rôle de la mélanine comme vecteur translationnel d’énergie qui s’applique à la plupart des organes récepteurs sensoriels que ce soit la peau (sens, toucher, gravité) l’œil (vision) l’ouïe (le son) le gout et l’odeur ainsi que leurs expansions extrasensorielles correspondantes de l’âme.AM Meyer Zum a écrit que la mélanine dans l’oreille interne est impliquée dans le contrôle des ions de calcium grâce au mouvement réel de la mélanine contenue dans les cellules, dans les mélanocytes des vaisseaux sanguins de l’oreille interne et du fluide endolymphatique de cette oreille.
La mélanine et la glande pinéale, Développement de la vision intérieure
En dépit de la présence de mélanine dans de nombreux endroits de notre corps et dans nos organes sensoriels récepteur en tant que vecteur transformationnel, la mélanine peut fonctionner comme un système complet unifié noir. Une étude sur l’Histoire antique africaine révèle que la mélanine humaine fonctionne comme un corps sacré, en tant que vision intérieure de l’âme pour donner naissance à la vraie conscience spirituelle, au génie créatif, à la vision béatifique, afin de devenir semblable à Dieu et converser avec les ancêtres.
La théorie égyptienne (livre stolen legacy de Georges James) enseigne la déification de l’homme ; selon cette théorie, l’âme de l’homme quand elle est libérée de ses chaînes corporelles peut lui permettre d’être comme un Dieu et de voir les Êtres Spirituels Supérieurs dans sa vie, d’atteindre la vision béatifiée, et rentrer en communication avec les ancêtres. Le mystère égyptien comme l’université était le centre d’une culture organisée et les candidats l’embrassaient en tant que source principale d’une culture organisée. Selon Pietschman les mystères égyptiens comprenaient 3 grades d’étudiants : 1) Les Mortels : les étudiants en cours de probation qui suivaient les cours et n’avaient pas encore expérimenté la vision intérieure, 2) Les intelligences qui avaient fait l’expérience de la vision intérieure 3 )Les créateurs ou fils de la lumière qui avaient atteint la vraie conscience spirituelle.
Chez tous les humains l’œil de la vision intérieure est l’œil d’Horus, l’œil de l’âme, le 3è œil, la glande pinéale, l’épiphyse du cerveau. Les européens ont prétendu que c’est Hérophile, un grec, professeur à la bibliothèque d’Alexandrie qui fut le 1er à découvrir la glande pinéale ; il était en réalité un étudiant des professeurs de médecine africains égyptiens. Il y a plus de 3000 ans ces médecins hautement érudits étaient les pères de Imhotep, ce médecin africain était connu pour être un homme de grand génie. Ces hommes et femmes médecins africains appartenaient à l’ordre de Pastophori (collège) de l’université égyptienne (le système du mystère) qui a prospéré pendant plus de 4000 ans en tant que académie éducative demeurée intacte dans son enseignement avant l’apparition du musée et de la bibliothèque grecque d’Alexandrie en Egypte.
Ces scientifiques africains, dans leurs écrits : les 42 livres de Tehuti, les textes des pyramides, les textes des sarcophages, le livre de sortie à la lumières du jour ou livre des morts, ont identifié l’emplacement exact, la physiologie de l’œil d’Horus ou glande pinéale, sa relation avec la lumière du soleil, la lumière des étoiles, avec l’âme et le corps de l’homme noir en relation avec son système mélaninique.
Dans le registre ayant rapport à la tombe de Toutankhamon (18è dynastie) est dessinée une lumière (la lumière du soleil) au milieu d’un front humain. C’est le siège de la glande pinéale, la seule structure à l’intérieur de la tête, sensible à la lumière environnementale. Cela était écrit par les africains1000 ans avant Hérophile et 3.300 ans avant sa redécouverte par les scientifiques européens (RJ Reiter 1992). Au contact de la lumière du jour, la glande pinéale déverse dans le sang l’hormone sérotonine ; La nuit elle déverse dans le sang l’hormone mélatonine directement impliquée dans la production de la mélanine dans de nombreux endroits du corps. En effet la glande pinéale est la plus importante des glandes partant du sommet de la tête, incluant la glande pituitaire, les glandes le long de la colonne vertébrale et la mélanine des mélanocytes de la peau. Selon les anciens africains il y aurait un lien entre la glande pinéale, les 33 vertèbres de la colonne vertébrale et la mélanine produite par le corps pour accroitre la production d’hormones et l‘interrelation électro-magnétique glandulaire durant ce processus.
WHY DARKNESS MATTER The power of melanin in brain POURQUOI LA COULEUR NOIRE A DE L’IMPORTANCE. Le pouvoir de la mélanine dans le cerveau par Ann Brown, Richard King, Owens Moore
La neuro science est née en réalité des entrailles de la neuroanatamie de l’Egypte kémetique. Sous la 18è dynastie il y avait des milliers de papyrus qui étaient dans les maisons de vie qui devinrent ultérieurement un modèle pour la pratique de la médecine chez les grecs. En réalité en raison des besoins de la médecine traumatique et de l’élaboration des procédés de momification, la connaissance en anatomie humaine était très importante. Malheureusement sur les milliers de textes écrits seulement 10 nous sont parvenus, parmi eux le papyrus de Edwin Smith et les papyrus d’Ebbers sont les plus connus. Le papyrus médical de Edwin Smith est en réalité un traité sur la chirurgie, vieux de plusieurs siècle et traitant seulement de la tête et du cou. Les autres parties du texte sont perdues pour l’histoire. Ce traité détaille une cinquantaine de sites anatomiques de la face du cou et du crane. Les égyptiens de Kemet (l’ancienne Egypte) connaissaient très bien les gyrus cérébraux et les méninges du cerveau, la dure mère, la pie mère, l’arachnoïde. Ils connaissaient l’importance cruciale du liquide cérébro spinal qui baigne le cerveau, les régions internes du cerveau moyen, la moelle épinière (Finch 1990). L’anatomie médicale kémétique savait bien identifier plus de 200 sites cliniques. Même après sa chute géopolitique et militaire, Kémet (l’ancienne Egypte) est restée l’école supérieure de l’ancien monde occidental pour les grecs et les romains. Comme Homer l’avait dit dans l’odyssée « En connaissance médicale l’Egypte dépasse le reste du monde » ce n’est qu’au 19è siècle que ces connaissances médicales dans leur détail et leur quantité ont été dépassées en Europe. En ce sens la neuroscience est une partie vivante de la médecine et de la psychologie depuis les prémices de la civilisation africaine et est la base d’une bonne partie de la pratique médicale contemporaine.
Traditionnellement la science occidentale a adopté deux positions divergentes envers ces 2 branches de la science médicale et psychologique africaine. Dans une position, elle l’a complètement ignorée malgré son évidente existence dans la science médicale africaine concernant la médecine interne et les fondements de la neuroscience. Les deux positions sont rarement mentionnés dans les textes médicaux scientifiques les plus connus. En réalité la science sur l’inconscient : la psyché, a été découverte en ancienne Egypte et était appelée «eaux primitives de Nun « ; D’ailleurs le psychiatre allemand Carl Jung et pas lui seul, s’en est inspiré pour sa pratique de la psychanalyse; en outre le mot grec Psyche est dérivé du vocabulaire de l’ancienne Egypte Khe Su : l’âme.
En réalité cette science médicale africaine est ou carrément ignorée ou grandement déformée, ridiculisée, ou considérée comme de la superstition primitive ou même de la magie noire par les occidentaux.
La neuromélanine en raison de son affinité avec la conductivité et la luminosité est présente en quantités importantes dans les zones cruciales du cerveau et du système nerveux des humains. Elle est donc impliquée dans le domaine médical, psychologique et même spirituel. Ce pigment noir dans le cerveau joue un rôle critique en permettant au système nerveux de fonctionner à un niveau élevé. Bien que les premières recherches faites par les occidentaux ont insinué que c’était un déchet, il existe une pléthore de preuves récentes pour contester cette affirmation. Les recherches actuelles sur les propriétés biophysiques de la mélanine ont mis à jour les mécanismes par lesquels la neuromélanine fonctionne dans le système nerveux. Par exemple la mélanine est un antioxydant qui peut prévenir les dommages cellulaires. Elle agit comme semi-conducteur en accroissant la vitesse d’impulsion des nerfs, elle fonctionne comme un convertisseur électrochimique pour transformer les stimulis physiques en activité neurale. La capacité de transduction (conversion) électrochimique et les propriétés globales de la mélanine semblent être associés à un processus neural avancé chez les mammifères et les primates. En résumé, cette matière noire dans le cerveau est un réseau moteur sensoriel hautement sensibilisé.
Un mystère dévoilé
La mélanine est un mystère parce que c’est un pigment associé à la couleur noire. Dans cette société consciente de la race, les questions liées à la couleur noire peuvent être un paratonnerre pour la controverse. Les recherches sur la mélanine ont été négligées à cause de la politique de la recherche scientifique. Etant donné qu’une grande partie de la recherche expérimentale a été menée par des non-noirs, l’auteur pense qu’une vue objective de cette recherche a été négligée. D’autre part si des scientifiques africains font des recherches pertinentes sur la mélanine ils peuvent être taxés de racistes anti blancs ou de pseudo (faux) scientifiques pour avoir soulevé des sujets difficiles à comprendre pour des non-noirs.
Le mystère du fonctionnement de la mélanine a été révélé et nous ne pouvons plus la considérer comme un déchet du système nerveux.
En 1975 Clark, Mc Gee ont décrit dans un article concis et clair le rôle de la mélanine dans le système nerveux. Il est connu que notre système nerveux central exécute un rôle critique dans le processus d’information essentiel pour son fonctionnement optimal sur les plans neurologique et métabolique. Selon Clark il y a une corrélation positive élevée entre les niveaux spécifiques d’activité sensorielle et les degrés de pigmentation selon les données neurophysiques, neurochimiques et neurohumorales. Ces auteurs ont été amenés à croire que la mélanine fait un travail d’épuration au niveau du système nerveux, qui produit un réseau moteur sensoriel hautement sensibilisé.
Origine de la neuromélanine
La quantité de mélanine dans le système nerveux est déterminé par les gènes. Les quantités de mélanine externe (peau) varient en fonction des groupes ethniques. Les niveaux de mélanine peuvent changer chez un individu. Par exemple la détérioration de la mélanine contenue dans les cellules du cerveau peut être causée par les drogues, les produits chimiques, ou le processus normal de vieillissement. Le rôle premier de la mélanine de la peau est la protection contre les rayons ultraviolets.
La mélanine commence à jouer son rôle depuis le début du développement de l’embryon dans toutes les fonctions de ce dernier : œil, système olfactif, oreille interne, cerveau, moelle épinière, glandes, cartilages, os, ongles, cheveux etc….La mélanine et la neuromélanine font partie du réseau moteur sensoriel depuis les premières étapes du développement de l’embryon. Chaque site dépend de la présence de la mélanine pour son bon fonctionnement physiologique ; le système endocrinien qui secrète plusieurs hormones dépend aussi de la mélanine pour sa structure et ses fonctions. Les nerfs de l’olfaction, de la vision, de l’ouïe sont formés par la présence de la mélanine. La mélanine dans ces parties du corps peut aider aux capacités de perception extra sensorielles des expériences que nous offre la nature, et la présence de mélanine améliore ces capacités. L’absence de mélanine dans les oreilles produit la surdité, l’absence de ce pigment dans la rétine nous rendrait aveugles, sans ce pigment dans la structure de notre cerveau nos capacités psycho motrices seraient sérieusement endommagées.
Les gènes et les maladies neuro-dégénératives
D’après les recherches actuelles sur la génétique il y a un lien génétique évident avec les désordres neuro-dégénératifs que sont les maladies de Parkinson et la maladie d’Alzheimer. En résumé, une personne peut avoir des prédispositions génétiques pour développer des maladies neuro-dégénératives si son mécanisme génétique est incapable de combattre l’accumulation de neuro toxines dans son cerveau. Si une personne a une propension à développer des maladies neuro-dégénératives, des facteurs tel que l’âge, l’alimentation, l’exposition ou la consommation de produits toxiques peuvent déclencher la destruction des neurones. Par conséquent, la neuromélanine est génétiquement programmée pour améliorer le fonctionnement et la protection des cellules du cerveau contre les attaques toxiques accumulées depuis des années et dues à un empoisonnement lent.
Neuromélanine et Ethnicité
Pour des raisons évidentes il n’est pas possible de disséquer un cerveau humain pour vérifier le fonctionnement de la mélanine mais les propriétés biophysiques de la mélanine synthétique peuvent faire la lumière sur le fonctionnement de la neuromélanine dans le cerveau. On a aussi rassemblé des expérimentations sur les animaux, les effets pharmacogénétiques des drogues sur les patients et des analyses post mortem de tissues cérébraux.
Les classifications raciales ont historiquement utilisé la pigmentation de la peau comme étant le seul facteur de distinction entre les différents groupes de personnes. Les différents degrés de pigmentation de la peau relèvent des enzymes (tyrosinase) qui déterminent la quantité de mélanine produite à la surface externe du corps. Il n’y a pas de controverse pour discuter des différences ethniques de la mélanine de la peau, mais cela devient problématique de parler de différences ethniques dans la mélanine du cerveau. Il y a à peu près 20 ans, Lawson (1986) a soulevé le problème sur les facteurs raciaux et ethniques en recherche psychiatrique ; bien qu’il n’y avait aucune corrélation directe avec la mélanine et la neuromélanine. Nous soulevons ce problème dans ce livre et comme cela avait été dit auparavant (Moore 1995), la mélanine du cerveau est génétiquement programmée pour fonctionner avec une capacité différente selon les capacités génétiques globales d’une personne de produire de la mélanine. Ce qui reviendrait à dire que plus une personne est noire, plus est grande sa capacité à produire de la neuromélanine.
Barr(1985) nous rappelle que la plupart des recherches sur la neuromélanine ont utilisé de la mélanine synthétique et les examens ont été faits in vitro, ce qui a donné des résultats controversés à ces examens. Il suggère que des études finales devraient être faites in vivo. Il dit d’ailleurs que cette terminologie de produit déchet donné à la neuromélanine par les chercheurs occidentaux devrait être rejetée pour les deux raisons suivantes 1) elle implique que la neuromélanine n’a aucune valeur significative 2) elle implique que la neuromélanine serait un produit fini formé partout où se trouvent les catécholamines en haute concentration.
Le premier point sera traité dans la section suivantes pour souligner les multiples avantages du fonctionnement de la neuromélanine. Le dernier point concerne l’activité enzymatique que d’autres rapports ont abordé (Curzon 1975). D’autres facteurs jouent un rôle déterminant dans la présence de la neuromélanine et le terrain génétique peut fournir des indices. En outre, la biochimie mélanine/neuromélanine peut être un facteur sérieux lié aux variantes génétiques dans les manifestations de désordres psychiatriques.
Par exemple, Lawson (1986) a porté à notre attention que des différences raciales ou ethniques existent dans la présentation des désordres psychiatriques. En outre des études cliniques ont fait ressortir (Lawson 1996) que les afro-américains comparativement aux caucasiens étaient défavorisés dans les systèmes de santé générale et mentale en raison de leur accès moindre à ces services, spécialement dans les systèmes de santé mentale et psychopharmacologique.
D’après des expériences faites aux Pays bas sur des rats sur la connexion entre les gènes et la sensibilité neuronale, il a été constaté que la neuromélanine est génétiquement programmée pour fonctionner à des niveaux différents en fonction de la quantité de neuromélanine produite par l’individu. Ces examens portaient sur l’activité de la dopamine : un neurotransmetteur clé du cerveau, qui permet la communication au sein du système nerveux, et qui influe directement sur le comportement et joue sur la motivation, la productivité et la concentration. En d’autres mots l’activité de la dopamine peut aider à juguler efficacement le stress mais sa suractivité peut conduire à des effets physiologiques négatifs. L’incidence élevée d ‘AVC, d’hypertension, et d’autres problèmes cardio-vasculaires peut provenir d’une suractivité de la dopamine qui affecte le système neuromélanine-catécholamine.
( Les catécholamines sont impliquées dans la transmission de l’influx nerveux entre les neurones. Elles sont produites en quantités accrues sous l’effet du stress (agressions physiques et autres événements traumatisants, hypoglycémie, etc.).
Des différences ethnobiologiques en réponse aux drogues ont été observées avec des drogues psychoactives ou altérant l’esprit mais aussi bien avec des drogues non psychoactives. Strickland et Gray (2000) ont examiné l’importance de la variante ethnobiologique dans la réponse aux drogues connues pour traiter l’humeur, des désordres comme la dépression, l’anxiété, la schizophrénie : beaucoup de ces drogues affectent les neurotransmetteurs qui viennent des centres mélaninés du cerveau. Par exemple la norepinephrine, la sérotonine, la dopamine sont des neurotransmetteurs impliqués dans les troubles de l’humeur et ils sont produits dans des parties spécifiques du cerveau visiblement mélaninées. Fait intéressant, il a été reporté que les afro-américains ont un risque plus important de développer une dyskinésie tardive (La dyskinésie tardive est un ensemble de mouvements répétitifs, persistants et défigurants qui affectent souvent la zone du visage et sont fortement associés aux traitements antipsychotiques de longue durée) et cela, même lorsque les différences dans l’utilisation de médicaments neurologiques sont prises en compte. Comparés aux Caucasiens, les Asiatiques semblent avoir un risque plus bas ou égal à développer une dyskinésie tardive.
Bien que des scientifiques prétendent que la quantité de neuromélanine est indépendante de la mélanine de la peau, il y a une raison de croire qu’il pourrait y avoir une variante de sensibilité dans le fonctionnement de la neuromélanine. Nous avons tous la peau qui couvre notre corps mais il y a des personnes qui sont plus sensibles au toucher que d’autres, Nous avons tous des yeux pour voir mais certaines personnes sont plus sensibles à certains types de lumière, nous avons tous des oreilles, mais certaines personnes sont plus sensibles à des fréquences spécifiques de son. De même on peut avoir une prédisposition génétique à avoir un réseau neuromélanine-catécholamines plus sensible.
La maladie de Parkinson
C’est une maladie neuro-dégénérativen qui affecte surtout les personnes âgées. Elle se caractérise pathologiquement par la destruction des cellules de dopamine situées dans la région du moyen cerveau appelée substance nigra La substance noire (nigra) est hautement mélaninée dans sa structure sous-corticale. En tant que faisant partie de la matière grise du cerveau, elle joue un rôle intégral dans la régulation et la production de mouvements lents coordonnés et délibérés. Outre la destruction des neurones de la substance noire il y a aussi dégénération des cellules du ventral tegmentum et du locus coerullus (kaplan et sadock 1987), l’effet combinée de cette neurodégénération cause des tremblements, une rigidité musculaire, une bradykinesie (des mouvements lents), une posture courbée et une démarche trainante. En observant les déficiences psychomotrices provoquées par des désordres neurodégénératifs comme la maladie de Parkinson on peut comprendre combien le cerveau contrôle un comportement normal.
Une investigation complète de ces déficiences comportementales et des déficits moteurs associés à la maladie de Parkinson peut révéler comment fonctionne la substantia nigra. On peut affirmer qu’une substance nigra hautement mélaninée peut conduire à une motricité avancée toute la vie. Au fur et à mesure que l’individu prend de l’âge, la quantité de neuromélanine décroit mais il peut y avoir une perte en neurones de la catécholamine dans la partie mélaninée du cerveau. L’âge a été le premier facteur attribué au développement de la maladie de Parkinson ; cependant il y a de nombreux cas de symptômes liés à la maladie de Parkinson que l’on retrouve chez des jeunes qui ont consommé des drogues. Les effets des drogues sur les neurones pigmentés (neuromélanine) du cerveau impliquent que les propriétés biophysiques de la neuromelanine peuvent contribuer à la destruction de ces cellules spécialisées principalement impliquées dans les tâches psychomotrices. Les drogues et la neuromélanine ont des structures similaires qui font un lien incassable, rendant les noirs plus dépendants que les blancs à ces drogues.
Les effets de ces drogues de synthèse chez les jeunes ont conduit à croire qu’il y a des facteurs environnementaux de risque associés à la maladie de Parkinson. Et que des facteurs ethniques et culturels peuvent s’ajouter à l’étude épidémiologique de la maladie de Parkinson.
Il a été reporté que les personnes de descendance africaine sont moins sujettes à la maladie de Parkinson que les autres groupes ethniques. Les taux de maladie de Parkinson étaient significativement plus bas chez les noirs que chez les blancs. Ainsi que des désordres de santé incluant l’infarctus du myocarde, l’ostéoporose, les fractures, certaines maladies rhumatismales, une incidence globale réduite du cancer. Dans cette étude faite par des européens, le risque relatif était déterminé par un mécanisme commun impliquant le système nerveux autonome et le métabolisme du calcium. En outre l’activité accrue du nerf vague, l’activité dopaminergique améliorée, un système efficace dopamine/vitamine D- hormone parathyroïdienne et un contexte neuro-endocrinologique-métabolique peuvent déterminer la réponse à un stimuli spécifique. Dans une étude faites par les chercheurs Kurzke et Goldberg il a été déterminé que le taux de mortalité par la maladie de Parkinson était plus bas chez les noirs que les blancs. Cependant il a été constaté que des maladies comme le diabète et l’hypertension affectent davantage les afro américains. En somme il a été soutenu que le fonctionnement de la neuromélanine est tributaire de la capacité d’une personne à produire de la mélanine et qu’elle avait un rôle fonctionnel dans le système nerveux.
Avantages de la neuromélanine
Nous avons pour habitude de considérer la mélanine comme un pigment photoprotecteur qui bloque les dégâts causés par les rayons ultraviolets du soleil. Les rayons UV sont un stimulus externe qui n’atteint pas les profondeurs internes du cerveau. Par conséquent il est difficile de comprendre pourquoi la mélanine est trouvée dans les profondeurs du cerveau. La plupart des hypothèses sur l’importance de la formation de la neuromélanine viennent d’études sur la neurodégenesrence des neurones pigmentés du cerveau ou bien d’études faites en laboratoire sur la mélanine synthétique. L’aventure sans preuves s’est lentement estompée au fur et à mesure que nous obtenions davantage de connaissance sur les propriétés bio-physiques de la mélanine.
Neutralisant des toxines
La mélanine est efficace en tant que dispositif de conversion sans rayonnement, de l’énergie de molécules excitées de manière nocive en énergie vibratoire inoffensive
(McGinness and Proctor 1973). Cette conversion peut désactiver métaboliquement des molécules excitées qui peuvent devenir potentiellement dangereuses pour les cellules. Cette conversion est désignée comme étant sans rayonnement par le fait qu’aucun dispositif mécanique n’est impliqué dans son fonctionnement. Le point important est que la mélanine prévient la propagation du dommage cellulaire en la neutralisant.
La mélanine est aussi connue pour protéger des effets dangereux des radicaux libres. Les radicaux libres sont des espèces chimiques hautement réactives qui ont un nombre impair d’électrons et de ce fait un électron non apparié. Il a été suggéré (Commoner, Townsend and Pake 1954) que la mélanine agit comme un lieu de dépôt pour les électrons non appariés éliminant ainsi les radicaux libres réactifs. Les peroxydes sont des substances chimiques qui peuvent perdre un électron et se transformer ainsi en dangereuses substances cytotoxiques. Outre les molécules cytotoxiques et les radicaux libres, la mélanine a la capacité de prévenir la « rouille » du cerveau. Par exemple, si vous laissez un morceau de fer dans de l’eau il va s’oxyder et rouiller. Dans le corps la mélanine peut se comporter comme un agent de transfert d’électrons pour protéger les cellules et les tissus contre l’oxydation (van Woert 1968 ; gan 1976,1977) ; en aidant au transfert des électrons, la mélanine assure la conversion en toute sécurité des réactions chimiques potentiellement volatiles.
Facilite l’influx nerveux
Les ions sont chargés de particules que nous consommons dans notre alimentation. Dissoutes dans l’eau ces électrolytes deviennent conducteurs de courant. Ces électrolytes créent un faible courant biologique dans le système nerveux qui va de 40 à 120millivolts et qui peut être exploité par la mélanine (Mc Ginness, Cory and Proctor 1974). La mélanine peut agir comme un interrupteur d’entrée pour changer la tension afin de créer un déclenchement neuronal. En d’autres mots comparés aux régions non mélaninées du cerveau les parties mélaninées sont plus actives.
En 1972 Mc Ginnes a suggéré que la mélanine peut se comporter comme un semi-conducteur amorphe quand il y a une élévation de la conductivité à un certain degré de voltage. Mc Ginness a suggéré que que cette élévation peut être le résultat d’une énergie kinétique des électrons permettant une mobilité plus élevée et la création d’états d’excitation.
Il a été avancé que les propriétés bioélectroniques de la mélanine peuvent faciliter la conductivité nerveuse dans les 3 cas suivants 1) elles peuvent accélérer le rythme de l’influx nerveux 2) elles peuvent concentrer des ions pour générer une activité de haut voltage 3) elles peuvent fournir une surtension électrochimique.
Dans le contexte de la santé mentale les cellules mélaninées peuvent causer une plus grande libération de neurochimiques provenant des cellules nerveuses. La transmission neuronale requiert la stimulation de certains électrolytes dans la membrane cellulaire. A la suite de ce changement dans la membrane cellulaire, des neurochimiques sont libérés par la cellule afin de transmettre l’influx nerveux.
Comme nous l’avions précédemment expliqué il y a plusieurs régions dans le cerveau (Substance noir, le locus coeruleus, le noyau du raphé) qui ont à la fois un degré élevé de mélanine et une activité neurochimique (dopamine, norépinephrine, sérotonine). En conséquence la mélanine peut accroitre le voltage, causer un afflux électrochimique, et influencer positivement la libération des neurochimiques.
Transformateur de l’énergie
La présence cohérente de mélanine dans les organismes vivants à des endroits où se font la conversion d’énergie ou le transfert de charge (peau, rétine, oreille interne) est d’un intérêt particulier. La mélanine est stratégiquement dans le corps pour absorber et convertir diverses formes d’énergie électromagnétique en états d’énergie pouvant être utilisés par le système nerveux. Elle peut fonctionner essentiellement comme un transducteur électrochimique.
Le fait que la mélanine est de couleur noire ou sombre pourrait aider à expliquer ses fonctions en tant que convertisseur d’énergie. Etant donné que la peau sombre ou toute substance noire absorbe la chaleur, la lumière n’est pas réfléchie mais est convertie en degrés libres sur le plan rotationnel et vibratoire (Mc Ginness et Proctor 1973). Contrairement à la couleur noire, la couleur blanche réfléchit la lumière. Il en résulte que les cellules pigmentées sont plus capables de convertir l’énergie comparées aux cellules non pigmentées. Comparés aux autres groupes ethniques les personnes sombres ont un système pigmentaire externe plus modifié qui leur donne une plus grande capacité de transfert électrique.
Au niveau des cellules du cerveau, il y a cependant des fonctions neurophysiologiques importantes qui améliorent de façon constante l’excitation et la conductivité du système nerveux. La stimulation du système nerveux demande une action potentielle et tout changement dans la nature électronique de la neuro-mélanine pourrait générer une énergie vibrationnelle capable d’affecter l’influx nerveux. Les actions potentielles sont générées quand les ions ou les électrolytes circulent dans la membrane des cellules. Quand les stimuli physiques venant du monde extérieur sont convertis en influx neuronal, la neuromélanine peut agir comme un semi conducteur pour augmenter la cadence des potentiels d’action.
n impliquant le système nerveux autonome et le métabolisme du calcium. En outre l’activité accrue du nerf vague, l’activité dopaminergique améliorée, un système efficace dopamine/vitamine D- hormone parathyroïdienne et un contexte neuro-endocrinologique-métabolique peuvent déterminer la réponse à un stimuli spécifique. Dans une étude faites par les chercheurs Kurzke et Goldberg il a été déterminé que le taux de mortalité par la maladie de Parkinson était plus bas chez les noirs que les blancs. Cependant il a été constaté que des maladies comme le diabète et l’hypertension affectent davantage les afro américains. En somme il a été soutenu que le fonctionnement de la neuromélanine est tributaire de la capacité d’une personne à produire de la mélanine et qu’elle avait un rôle fonctionnel dans le système nerveux.
Avantages de la neuromélanine
Nous avons pour habitude de considérer la mélanine comme un pigment photoprotecteur qui bloque les dégâts causés par les rayons ultraviolets du soleil. Les rayons UV sont un stimulus externe qui n’atteint pas les profondeurs internes du cerveau. Par conséquent il est difficile de comprendre pourquoi la mélanine est trouvée dans les profondeurs du cerveau. La plupart des hypothèses sur l’importance de la formation de la neuromélanine viennent d’études sur la neurodégenesrence des neurones pigmentés du cerveau ou bien d’études faites en laboratoire sur la mélanine synthétique. L’aventure sans preuves s’est lentement estompée au fur et à mesure que nous obtenions davantage de connaissance sur les propriétés bio-physiques de la mélanine.
Neutralisant des toxines
La mélanine est efficace en tant que dispositif de conversion sans rayonnement, de l’énergie de molécules excitées de manière nocive en énergie vibratoire inoffensive
(McGinness and Proctor 1973). Cette conversion peut désactiver métaboliquement des molécules excitées qui peuvent devenir potentiellement dangereuses pour les cellules. Cette conversion est désignée comme étant sans rayonnement par le fait qu’aucun dispositif mécanique n’est impliqué dans son fonctionnement. Le point important est que la mélanine prévient la propagation du dommage cellulaire en la neutralisant.
La mélanine est aussi connue pour protéger des effets dangereux des radicaux libres. Les radicaux libres sont des espèces chimiques hautement réactives qui ont un nombre impair d’électrons et de ce fait un électron non apparié. Il a été suggéré (Commoner, Townsend and Pake 1954) que la mélanine agit comme un lieu de dépôt pour les électrons non appariés éliminant ainsi les radicaux libres réactifs. Les peroxydes sont des substances chimiques qui peuvent perdre un électron et se transformer ainsi en dangereuses substances cytotoxiques. Outre les molécules cytotoxiques et les radicaux libres, la mélanine a la capacité de prévenir la « rouille » du cerveau. Par exemple, si vous laissez un morceau de fer dans de l’eau il va s’oxyder et rouiller. Dans le corps la mélanine peut se comporter comme un agent de transfert d’électrons pour protéger les cellules et les tissus contre l’oxydation (van Woert 1968 ; gan 1976,1977) ; en aidant au transfert des électrons, la mélanine assure la conversion en toute sécurité des réactions chimiques potentiellement volatiles.
Facilite l’influx nerveux
Les ions sont chargés de particules que nous consommons dans notre alimentation. Dissoutes dans l’eau ces électrolytes deviennent conducteurs de courant. Ces électrolytes créent un faible courant biologique dans le système nerveux qui va de 40 à 120millivolts et qui peut être exploité par la mélanine (Mc Ginness, Cory and Proctor 1974). La mélanine peut agir comme un interrupteur d’entrée pour changer la tension afin de créer un déclenchement neuronal. En d’autres mots comparés aux régions non mélaninées du cerveau les parties mélaninées sont plus actives.
En 1972 Mc Ginnes a suggéré que la mélanine peut se comporter comme un semi-conducteur amorphe quand il y a une élévation de la conductivité à un certain degré de voltage. Mc Ginness a suggéré que que cette élévation peut être le résultat d’une énergie kinétique des électrons permettant une mobilité plus élevée et la création d’états d’excitation.
Il a été avancé que les propriétés bioélectroniques de la mélanine peuvent faciliter la conductivité nerveuse dans les 3 cas suivants 1) elles peuvent accélérer le rythme de l’influx nerveux 2) elles peuvent concentrer des ions pour générer une activité de haut voltage 3) elles peuvent fournir une surtension électrochimique.
Dans le contexte de la santé mentale les cellules mélaninées peuvent causer une plus grande libération de neurochimiques provenant des cellules nerveuses. La transmission neuronale requiert la stimulation de certains électrolytes dans la membrane cellulaire. A la suite de ce changement dans la membrane cellulaire, des neurochimiques sont libérés par la cellule afin de transmettre l’influx nerveux.
Comme nous l’avions précédemment expliqué il y a plusieurs régions dans le cerveau (Substance noir, le locus coeruleus, le noyau du raphé) qui ont à la fois un degré élevé de mélanine et une activité neurochimique (dopamine, norépinephrine, sérotonine). En conséquence la mélanine peut accroitre le voltage, causer un afflux électrochimique, et influencer positivement la libération des neurochimiques.
Transformateur de l’énergie
La présence cohérente de mélanine dans les organismes vivants à des endroits où se font la conversion d’énergie ou le transfert de charge (peau, rétine, oreille interne) est d’un intérêt particulier. La mélanine est stratégiquement dans le corps pour absorber et convertir diverses formes d’énergie électromagnétique en états d’énergie pouvant être utilisés par le système nerveux. Elle peut fonctionner essentiellement comme un transducteur électrochimique.
Le fait que la mélanine est de couleur noire ou sombre pourrait aider à expliquer ses fonctions en tant que convertisseur d’énergie. Etant donné que la peau sombre ou toute substance noire absorbe la chaleur, la lumière n’est pas réfléchie mais est convertie en degrés libres sur le plan rotationnel et vibratoire (Mc Ginness et Proctor 1973). Contrairement à la couleur noire, la couleur blanche réfléchit la lumière. Il en résulte que les cellules pigmentées sont plus capables de convertir l’énergie comparées aux cellules non pigmentées. Comparés aux autres groupes ethniques les personnes sombres ont un système pigmentaire externe plus modifié qui leur donne une plus grande capacité de transfert électrique.
Au niveau des cellules du cerveau, il y a cependant des fonctions neurophysiologiques importantes qui améliorent de façon constante l’excitation et la conductivité du système nerveux. La stimulation du système nerveux demande une action potentielle et tout changement dans la nature électronique de la neuro-mélanine pourrait générer une énergie vibrationnelle capable d’affecter l’influx nerveux. Les actions potentielles sont générées quand les ions ou les électrolytes circulent dans la membrane des cellules. Quand les stimuli physiques venant du monde extérieur sont convertis en influx neuronal, la neuromélanine peut agir comme un semi conducteur pour augmenter la cadence des potentiels d’action.
Activation biologique de la neuromélanine
La neuromélanine est un puissant anti-oxydant. Pour activer biologiquement la neuromélanine, il est important d’ingérer les éléments nutritionnels afin de promouvoir le fonctionnement du réseau neuromélanine-catécholamine. Les recherches actuelles ont renseigné sur le rôle protecteur des pigments de certains fruits et parmi les fruits la myrtille est le plus efficace quant à ses propriétés anti-oxydantes. Etant donné que la mélanine joue un rôle protecteur en tant qu’oxydant efficace, la santé d’une personne peut être grandement améliorée par la consommation de substances ayant un rôle similaire.
Il est essentiel de consommer autant que possible des aliments naturels afin de diminuer le développement de maladies dégénératives. L’accumulation de produits chimiques toxiques et de substances artificielles pendant des année, absorbés par les neurones pigmentés du cerveau peut conduire à des dommages cellulaires. Les propriétés anti-oxydantes de nombreux fruits peuvent ralentir le processus de vieillissement et prévenir les dommages cellulaires. En outre, des études faites sur les effets de la myrtille ont démontré que ces fruits sombres peuvent améliorer les fonctions cognitives et motrices chez le rat (Joseph, Nadeau et Underwood 2002).
En somme il y a beaucoup de produits enrichis de soleil (ex fruits et légumes) qui possèdent des substances chimiques naturelles nécessaires au système nerveux afin de lui permettre de fonctionner à un niveau optimal. Les vitamines, les minéraux, les acides aminés, et les alcaloïdes sont quelques substances qui peuvent biologiquement activer la neuromélanine et favoriser de façon positive la santé physique et mentale.
Conclusion
La neuromélanine peut être considérée comme étant le moteur de la conscience. C’est la connexion entre la noirceur de l’espace interstellaire (la matière noire) et le pigment profond situé dans les recoins de notre système nerveux. Nous pouvons commencer à considérer que la mélanine est un nouveau moyen de réfléchir sur la conscience. Comme nous l’avons vu dans ce chapitre la présence de neuromélanine va croissante des animaux inférieurs aux animaux supérieurs et est à son plus haut niveau chez l’homme. Comparé aux autres espèces l’homme est celui chez lequel le niveau de conscience est le plus élevé.
La démonstration sans pareil de l’expressivité flamboyante de la culture noire africaine est en premier lieu due à son réseau moteur sensoriel hautement dynamisé. L’expressivité est démontrée dans des loisirs rythmiques tels que la danse, le rap rythmé, des mouvements du corps réalisés avec un rythme percutant, et presque tous les mouvements impliquant des compétences psychomotrices.
Vu d’un point de vue biologique, la neuromélanine peut être une épée à double tranchant. Elle peut protéger le cerveau comme elle peut le conduire à des altérations de ses cellules. (La structure chimique des drogues fait un lien incassable avec celle de la neuromélanine, rendant de ce fait les noirs fortement accrocs aux drogues) D’une part un système neuromélanine-catécholamine peut grandement améliorer les capacités psychomotrices d’une personne, mais la détérioration de ces neurones pigmentés peut entrainer des maladies neuro-dégénératives comme la maladie de Parkinson. En conclusion, la mélanine n’est pas un déchet. La mélanine est cruciale pour le maintien d’un état d’esprit sain, pour favoriser une santé mentale positive. Il est conseillé de consommer autant de produits naturels que possible pour stimuler les propriétés anti-oxydantes, semi-conductives et électrochimiques de la neuromélanine.
La neuromélanine, son importance dans les tissus neuronaux
Aperçu
Les mélanines sont des biopolymères organiques trouvés dans la biosphère, la lithosphère, l’atmosphère et le cosmos. Dans les organismes vivants ce sont : l’eumélanine, la phéomélanine et l’allomélanine. L’Eumélanine est la polymérisation de mélanogènes azotés ; la phéomélanine est dérivée de la polymérisation de mélanogènes soufrés et l’allomélanine est la polymérisation de polyphynols. Dans le cerveau, la matière noire est appelée neuro-mélanine (mélanine des tissus neuronaux). La neuromélanine est une macromolécule trouvée en quantité dans les neurones catécholaminergiques, particulièrement dans les neurones dopaminergiques et noradrénergiques du cerveau humain. La neuromélanine est un pigment biopolymère brun à noir trouvé dans le système nerveux, principalement dans la substance noire, et le locus coeruleus. Il a été démontré que la neuromélanine se comporte en tant que réservoir de stockage des métaux lourds, des anti-oxydants et piégeur des radicaux libres. Le stockage des métaux lourds et des toxines organiques a été interprété comme étant une fonction protectrice de la neuromélanine. Deux désordres chroniques chez les personnes âgées sont la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson. Des chercheurs du cerveau ont démontré qu’une protéine appelée ApoE (une lipoprotéine E) dans les cellules nerveuses du cerveau des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer déclenche une cascade d’événements biochimiques qui affaiblissaient et finalement détruisaient les cellules neuronales situées dans des zones importantes du cerveau humain. Des études ont montré chez des patients atteints des désordres de la maladie d’Alzheimer une dégénérescence des synapses et la mort des neurones. Cliniquement la maladie d’Alzheimer se manifeste par la perte de mémoire et finalement la mort de la cellule. La maladie de Parkinson est une maladie neuro-dégénérative lente liée à l’âge qui se traduit par la mort de cellules sélectives du pigment neuromélanine produisant les cellules neuronales de la substance noire et du locus coeruleus. Néanmoins il y a des questions restées sans réponse quant au rôle de la neuromélanine dans la maladie de Parkinson. D’après des recherches il a été découvert que la neuromélanine est synthétisée enzymatiquement à partir de la conversion de la tyrosine en dopamine. La neuromélanine réagit à d’autres macromolécules telles que les lipides et les protéines et s’accumule avec l’âge dans les neurones dans des zones du cerveau. En final de compte la neuromélanine est importante pour toutes les fonctions du cerveau et les maladies Alzheimer et Parkinson peuvent être des manifestations différentes d’un même état de santé. Il apparait que la plupart des désordres du cerveau, à quelque degré qu’ils soient, dépendent de la neuromélanine via la dopamine et l’acétylcholine nécessaires pour le contrôle moteur et le maintien d’une santé fonctionnelle. Une nutrition déficiente peut être fortement impliquée dans l’étiologie de nombreuses maladies neurologiques à long terme. La mélanine contribuerait à la conscience, la mémoire, la spiritualité et permettrait un comportement sain.
Définition
La mélanine est précipitée sous forme de matière noire. La matière noire est présente dans tout l’univers. La mélanine est un semi-conducteur amorphe parce qu’elle est toujours en mouvement, toujours en changement pour s’adapter aux divers niveaux d’énergie. En raison de ce mouvement la mélanine déploie des propriétés cohérentes et semi conductrices en vertu de sa faible résistance au flux des électrons. En conséquence la mélanine est un déclencheur pour conduire le flux des électrons à des niveaux d’énergie haute ou basse. Le transfert de charge en basse fréquence donne à la mélanine la capacité d’avoir de fortes affinités de liaison avec les drogues et les métaux pour en définitive endommager les tissus neuronaux et les fonctions globales par la mort des cellules.
Sa présence dans tous les organismes vivants a été entièrement documentée et permet de comprendre son implication dans beaucoup de fonctions importantes, elle peut être un super conducteur avec un haut degré d’efficacité. Cette conductivité de la neuromélanine a été découverte au tout premier début de l’embryogénèse avant le premier battement de cœur du fœtus. Cela revient à penser que la mélanine est la clé chimique de la vie, la substance que nos ancêtres ont appelé l’âme, le seuil de transformation par lequel passent les vagues d’énergie de l’âme, de l’esprit, de la conscience pour prendre forme en tant que corps sacré. Les Africains anciens dans la littérature classique, dans la psychologie de kémet (l’Egypte ancienne) pouvaient voir tous les composants de Amenta (le monde souterrain, le subconscient (l’esprit), la super conscience (l’âme), la conscience collective (l’esprit) comme une mélanine de couleur noir de jais. Barr en 1983 établit une liste établie des propriétés de la mélanine qui reflète ses nombreuses propriétés et documente sur son comportement du à ses propriétés biophysiques et biochimiques. Il a par la suite avancé l’hypothèse majeure selon laquelle la mélanine en conjonction avec d’autres molécules pigmentées comme les polymères fonctionnerait comme la molécule la plus importante sur le plan organisationnel parmi les systèmes vivants par son contrôle in vivo efficace de la commutation de courant covalent vitale et diversifiée. Ce concept est très important car il est lié à la capacité qu’a la mélanine de générer un certain degré de courant électrique de faible niveau dans les systèmes vivants qui génèrent le courant nécessaire à la conductibilité nerveuse. Etant donné la température du tissu neuronal du cerveau, la mélanine en tant que semi-conducteur amorphe et super conducteur peut vraisemblablement transmettre le courant électrique sans résistance dans un milieu fermé comme le mouvement perpétuel que les scientifiques appellent » phénomènes quantiques macroscopiques ». Par conséquent les cellules nerveuses, par exemple, sont très spécialisées pour recevoir, traiter et transmettre l’information (la conscience) dans tout le corps en perpétuel mouvement. (Nicolas 1997).
Ce rapport avance l’hypothèse que la neuromélanine (mélanine du cerveau) joue un rôle important dans les tissus neuronaux pour conduire et transmettre le flux de courant électrique via les cellules nerveuses (neurones) à toutes les parties du cerveau, ce qui équivaut à la conscience. En effet la neuromélanine c’est la conscience. Les neurones déficients en cette matière noire souffriront d’un déficit en énergie, affectant ainsi la conscience, l’intellect, l’activité motrice et autres fonctions importantes. Notre intérêt dans la neuromélanine est d’exprimer une approche théorique consolidée sur ce pigment, car les psychiatres, les scientifiques, les psychologues en puisant dans la richesse de la recherche diagnostiquent de plus en plus de conditions pathologiques à travers le monde. Nous constatons que la plupart de ces pathologies sont basées sur des effets, mais nous devons les énoncer tout en sachant que les causes sont toujours nébuleuses. Néanmoins nous sommes aussi intéressés dans les causes aussi bien que dans les effets. Les vrais réponses aux pathologies ne seront pas une réalité à moins que les causes soient d’abord identifiées. Excepté le rôle de la neuromélanine dans des états pathologiques (effets) comme nous l’avons vu dans les maladies de Parkinson et d’Alzheimer et dans certaines tumeurs neurologiques, les intérêts passés et présents manifestés par les chercheurs sur le rôle de ce pigment noir concentré dans des régions stratégiques du cerveau et ailleurs ont pratiquement été ignorés. En réalité, sauf pour la mélanine de la peau, peu d’attention a été accordée à son importance dans les fonctions nerveuses. Pourquoi est elle présente dans la cellule du neurone ? Jusqu’à aujourd’hui la nomenclature sur la neuromélanine est éludée dans les efforts de recherche car elle est considérée comme juste un pigment cytosolique de déchet de la synthèse de la catécholamine. Cependant selon Cotzias en 1964 « la granule de neuromélanine peut être le secret clé à la compréhension du Parkinsonisme. Je ne crois pas que Dieu ait mis la granule de mélanine dans le système nerveux central pour rien ; elle joue un rôle et un grand rôle »
Localisation et importance de la neuromélanine
La neuromélanine est localisée dans le tronc cérébral et dans les couches épithéliales des ventricules du cerveau chez les humains et a été prouvée différente de la mélanine produite par les mélanocytes. Elle est en quantité élevée dans la substantia negra et dans le locus coeruleus des quatre ventricules.
Des données classiques émanant de spécialistes expliquent les interactions cellulaires de la mélanine. La fertilisation résulte de la mélanine contenue dans l’œuf de la femme et de la mélanine du spermatozoïde. Les noirs en raison de ce pigment en quantité plus élevé chez eux sont plus fertiles que les leucodermes.
Une nourriture naturelle et pigmentée est nécessaire pour le fonctionnement normal des fonctions nerveuse.
Il a été avancé que la neuromélanine est concentrée sous forme de neurones dans des régions stratégiques du cerveau qui sont des régions clés de maintien du flot de flux continuels à travers le cerveau et que nous appelons conscience. Cette très puissante matière agit en tant que semi-conducteurs (superconducteurs) en transmettant, et régénérant le courant nécessaire pour la conscience, l’intellect, les fonctions sensorielles et motrices. Selon nous la neuromélanine est régénérée par la prise d’aliments crus et d’aliments pigmentés, particulièrement des fruits et légumes crus et des aliments non industriels.
Une grande attention a été portée à la maladie d’Alzheimer, une maladie insidieuse neurodégénérative entrainant des désordres cérébraux se traduisant en perte de la mémoire, par un comportement inhabituel, et une régression de la capacité à penser. Ces problèmes neurologiques seraient liés à la destruction et la mort des cellules nerveuses du cerveau. L’oxygène, les aliments naturels et pigmentés peuvent empêcher la coagulation de protéines toxiques dans la cellule nerveuse et autres dommages se traduisant par une perte de mémoire due à l’incapacité de propagation de l’influx nerveux.
Pendant plus de 30 ans les scientifiques ont vraiment mis en lumière l’effet protectif d’un ingrédient alimentaire naturel : le curcuma un pigment jaune utilisé dans la nourriture comme ingrédient.
Plus de 100 études en Occident, encore en cours, et beaucoup d’autres faites par des scientifiques indiens ont démontré que les pigments phytochimiques, polyphénoliques des plantes utilisés dans la nourriture quotidienne dans les cultures Indiennes (ayurvédiques), africaine, caribéenne, asiatiques, sud-américaines peuvent prévenir ou réduire beaucoup des maladies neurologiques et débilitantes constatées dans les pays occidentaux qui utilisent rarement ces condiments. Cela a été constaté avec le curcuma. On peut donc penser que les pigments alimentaires sont des molécules biochimiques aussi importantes que les vitamines, les minéraux et autres composants alimentaires, et devraient être inclus dans la consommation quotidienne alimentaire pour un bon fonctionnement du système nerveux.
Des études réalisées sur les personnages âgés en Inde qui consommaient de grande de quantité de curcuma dans leur nourriture ont démontré qu’elles étaient moins susceptibles de développer la maladie d’Alzheimer ou la sclérose en plaques que les personnes âgées en occident. En regard de ceci des scientifiques occidentaux ont émis l’hypothèse que le curcuma doit avoir des propriétés anti-inflammatoires. Cette découverte a été soutenue par le fait que les occidentaux qui prennent des anti-inflammatoires régulièrement pour l’arthrite sont moins susceptibles de développer la maladie d’Alzheimer.
Des études récentes avancent que le curcuma peut traverser la barrière hémato-encéphalique et se lier aux protéines toxiques béta amyloïdes présentes dans le cerveau des malades de la maladie d’Alzheimer, briser les plaques existantes et empêcher la formation d’autres. En outre, le curcuma a de puissantes propriétés anti-oxydantes et anti-inflammatoires à petites doses qui atténuent les symptômes de la maladie causés par l’oxydation et l’inflammation. Il a aussi des propriétés chimioprotectrices dans le cancer de l’estomac et du colon. Il peut aussi protéger le cerveau des dommages causés par les radicaux libres par induction de l’hème oxygénase comme protection.
Nous pensons sérieusement que beaucoup de maux et de souffrances examinées spécialement dans les populations âgées de la terre sont liées à la nutrition. En dépit des injustices dans la répartition de l’alimentation, il y a d’autres avantages que les pays pauvres comparés aux pays riches ont conservé : la sélection culturelle d’aliments qui tendent à maintenir certains états pathologiques à un degré minimum.
Nous émettons en outre l’hypothèse que les substances alimentaires crues pigmentées libèrent des molécules biochimiques utilisées par les cellules nerveuses pour régénérer leur neuromélanine dont les corps cellulaires de millions de neurones semi-conducteurs (superconducteurs) ont besoin à chaque instant pour la propagation d’influx que nous appelons conscience.
Toute obstruction de ce flux de courant par une matière toxique étrangère comme des toxines issues du colon et circulant dans le cerveau crée des liens dans la neuromélanine et peuvent être des facteurs contribuant aux pathologies de la maladie d’Alzheimer constatées dans l’hippocampe du cerveau ou à des rigidités ou tremblements due à la carence en neurone et en neuromélanibe dans le cerveau moyen dans la maladie de Parkinson. Au site d’un synapse il y a de la neuromélanine qui reçoit et recharge l’influx.
Conclusion
La mélanine est un pigment biopolymère avec des propriétés semi-conductrices. Il est présent dans toutes les cellules vivantes. Comme ils sont présents depuis le début de la conception, ces pigments bioactifs jouent un rôle majeur dans l’organisation cellulaire/moléculaire et embryologique de tous les êtres vivants. La mélanine est présente dans les tissus neuronaux et semble fonctionner dans la transmission et la circulation du courant électrique d’une partie du cerveau à une autre à travers un circuit complexe. Les informations sur le tissu cérébral montrent que la neuromélanine localisée dans les neurones dopaminergiques et adrénergiques a des propriétés qui, lui donnent la qualité d’être à la fois un superconducteur et un semi-conducteur amorphe -un commutateur semblable aux matériaux non -organiques, Dans le cerveau la mélanine se comporterait comme un éclair de lumière qui serait généré par ce semi-conducteur amorphe avec une conductivité allant d’un niveau bas à élever.
Selon les recherches effectuées dans le contexte de la santé, nous avons constaté que les pigments naturels des aliments et des condiments sont bénéfiques à la régénération de la mélanine du cerveau dans lequel le pigment est un élément clé semiconducteur pour la propagation du courant électrique de façon continue via des milliards de neurones qui donnent vie à la conscience et à d’autres fonctions. Les personnes âgées relevant des cultures où des condiments comme le curcuma est utilisé comme complément alimentaire souffrent rarement de maladies débilitantes comme l’arthrite, la maladie d’Alzheimer et autres maladies dégénératives. Le curcuma a des propriétés anti -oxydantes, anti inflammatoires et cytoprotectives en agissant comme un piégeur d’espèces réactives de l’oxygène qui peuvent contribuer à la formation de plaques bêta-amyloïdes qui séquestrent la neuromélanine cytoplasmique neuronale et d’autres produits chimiques toxiques, provoquant certains des symptômes observés dans le système nerveux.
En Outre la neuromélanine active et transmet la conscience à toutes les parties du cerveau pour la cognition et l’activité motrice. Les recherches indiquent clairement qu’une baisse de dopamine dans les neurones du mésencéphale se traduisent par une perte de l’activité motrice, du langage, de l’apprentissage, et de la mémoire comme constaté dans les désordres liés aux maladies de Parkinson et Alzheimer. Chez certains patients les axones et dendrites des neurones dans certaines parties du cerveau sont tordues et enroulées sur elles-mêmes empêchant toute transmission d’un nerf à un autre ce qui entraines des pathologies et la mort des cellules. Les causes de ces désordres neurodégénératifs n’ont pas été clairement établis. Les facteurs pourraient être divers tels que l’héritage génétique, l’environnement, l’âge, les radicaux libres, les neurotoxines et la nutrition. La prise de drogues chez les personnes de couleur cumule les effets négatifs et contribue à des modifications du comportement.
La mélanine est aussi hautement concentrée pas seulement à la surface du cerveau mais de manière cruciale dans des régions spécifiques du noyau cérébral mais cliniquement parlant à la surface de nombreux organes internes, dans le système neuroendocrinien diffus, le système sensoriel de l’œil et le système auditif. Tous communiquant entre eux à travers des voies interconnectées de l’organisme. Cela suggère un certain type d’énergie et de champ bio-informationnel capable d’autorégulation et d’influence consciente dans certaines conditions. La mélanine absorbe un spectre assez large d’ondes électromagnétiques et d’autres énergies d’excitation à partir de structures moléculaires adjacentes.
En final de compte nous devrions encourager des discussions pédagogiques honnêtes sur cette matière noire de nos neurones car elle est liée au comportement, aux émotions, à l’apprentissage, l’intelligence, le bien être, la vieillesse et la longévité dans des conditions non pathologiques.
La neuromélanine est extrêmement sensible et réceptive à la lumière ou à la luminosité dans divers modes. Elle reflète littéralement une bioluminosité perçue en interne. Cela est vrai dans les diverses cultures et les traditions de méditation à travers le temps. Cet état de conscience semble avoir atteint un niveau clinique dans les travaux des Egyptiens de Kémet qui étaient des observateurs médicaux avisés de tels phénomènes, en relation avec la maladie. Les dogons du Mali, qui retracent leur lignée historique et génétique jusqu’à l’Égypte pré-dynastique en utilisant une méthodologie datant de plus de 600 ans ont pu localiser, sans l’aide de télescopes, l’étoile compagne naine de l’étoile Sirius. Les Dogons ont décrit sa forme orbitale et sa durée de rotation avec précision. Ils décrivirent son orbite, son axe et reconnurent aussi ses uniques caractéristiques gravitationnelles d’étoile très petite mais dense. Cette étoile appelée Sirius B a une magnitude de 8 et est invisible à l’œil nu. Elle fait une révolution autour de Sirius tous les 50 ans. Elle a été vue par télescope pour la 1ère fois par le monde scientifique moderne par 2 astronomes américains en 1862 et a été photographiée en 1970. Les Dogons ont aussi décrit avec exactitude d’autres objets clignotants près de Sirius B. Toute la cosmogonie des Dogons est commandée par Sirius B appelée aussi Digitaria.
Or, cette étoile n’a été découverte qu’en 1836 et identifiée comme une naine blanche qu’en 1915. Peu après, les anthropologues Marcel Griaule et Germaine Dieterlen (1986) découvrirent que les Dogons avaient bien d’autres connaissances en astronomie. Ils savaient, par exemple, que Jupiter a quatre satellites principaux, que les planètes tournent autour du soleil. Ils savaient que Saturne a des anneaux, que la Terre tourne autour du Soleil et que les étoiles sont des corps en mouvement perpétuel.
Ils savaient également que la Lune est une planète morte. Depuis des générations, les prêtres enseignent que la Voie lactée est animée d’un mouvement en spirale, auquel participe notre système solaire.
Un autre fait étrange, ils affirment que Sirius serait accompagnée, non pas d’une étoile, mais de deux étoiles.
Nous savons que Sirius B existe, mais, à ce jour, aucune Sirius C n’a été détectée. Il est intéressant de constater selon notre point de vue que le monde tourne comme sur une spirale. Les orbites de Sirius et Digitaria ont une forme elliptique, en spirale, les foyers de neuromélanine du cerveau reflètent cette forme en spirale du 1er au dernier foyer. En d’autres mots il apparait qu’il y a une similarité configurationnelle dans les orbites du monde externe et du monde interne.
Que nous acceptons ou non ces rapports de terrain venant de Griaule et Dieterlen, ils ont néanmoins donné lieu à un débat scientifique controversé et contentieux des scientifiques occidentaux avec des arguments se réclamant de la complète authenticité de ces rapports ou d’autres se prononçant sur une interprétation erronée. Ces connaissances des Dogons pourraient être rejetées si de tels rapports n’avaient pas été réalisés dans les temps anciens par des chercheurs et des astronomes depuis le philosophe grec Proclus et à travers tout un éventail d’époques et de cultures ; les plus anciens étant les écrits d’Hermès Trismégiste dans lesquels est mentionné le « Mystère noir » ou le rite noir. Il a été constaté une corrélation entre le monde externe et les fonctions intimes du corps humain, ce qui suggère une profonde connexion entre les deux. Il est tout à fait possible que nos actuelles lois sur la physique d’après lesquels nous définissons implicitement nos concepts et les limites de notre esprit n’incluent pas totalement les limites de la conscience. Des découvertes ultérieures pourront élargir grandement notre compréhension de la connexion entre le « dessous et le dessus « .Il est tout à fait possible qu’il y ait une similitude entre le cerveau et l’univers physique que nous ressentons réellement dans les états d’expériences conscientes unitaires ; il y aurait une affinité vibratoire telle une résonance quantique entre les structures du cerveau et l’espace représentatif avec les étoiles et les autres structures qui s’y meuvent. En d’autres mots la contiguïté d’un algorithme caché qui existerait entre le monde interne et l’espace externe et qui serait créé par une interaction entre les vibrations des foyers de neuromélanine, du cerveau et ses structures et les formes en courbe de l’espace.
Dans tous les cas les observations faites par les Dogons et célébrées dans leurs cérémonies, ont résisté à l’épreuve du temps et sont consensuellement validées par leurs disciplines religieuses et récemment par l’astronomie moderne. Il a été avancé que lorsque la neuromélanine est moyennement activée, se déclenche le long de la colonne vertébrale la perception interne, d’un circuit lumineux, subtil, relaxant qui se produit en même temps que la neuromodulation qui se fait le long de cette colonne vertébrale. Par contre quand cette colonne nigro-striée est pleinement éveillée par diverses pratiques et disciplines, il se crée une perception intense et distincte de bioluminosité émergeant de cette matière noire, de la colonne au cœur du cerveau et au-delà. Aux stades précoces, cette perception est ressentie le long de la colonne comme une force ondulante et vivante qui proviendrait de l’entraînement résonnant et rythmique additionnel des foyers de neuromélanine topologiquement situés dans les 3èmes et 4èmes ventricules du cerveau . Les autres organes situés dans la chambre noire interne sont appelés organes circumventriculaires (ex hypophyse, hypothalamus….) la neuromélanine par ses affinités de résonance créerait un courant amplificateur qui se répercuterait dans la région du cortex moteur sensoriel dans le gyrus précentral en prenant en compte ce courant particulier du cortex sensoriel circulaire ; cela est souvent constaté lors d’expériences méditatives classiques.
Ces organes circumventriculaires sont des structures cérébrales médianes qui bordent le 3è et le 4è ventricules et se trouvent hors de la barrière hémato-encéphalique. Etant donné que le sang et le liquide cérébro-spinal circulent entre ces structures et fluides plus librement dans ces lieux que dans toute autre région du corps et du cerveau , il y a un accroissement radical de communication entre ces structures, les organes périphériques, les produits à diffusion hématogène et les informations sur ces sites. Ces organes circumventriculaires comprennent la glande pinéale, l’éminence médiane, l’organe sous-fornique, la zone postrema, l’organe sous-commissural, l’organum vasculosum de la lamina terminalis, ils comprennent aussi les lobes intermédiaires et neuraux de l’hypophyse. Quand ces structures sont mises en mouvement par une respiration et /ou une dance rituelle et sont coordonnées par des mouvements du corps ou autres disciplines méditatives, il se produit une vibration synchronisée entre le 3è et le 4è ventricule qui sont connectés entre eux par un tunnel de liquide cérébro-spinal. Quand cette spirale vibratoire atteint la glande pinéale, elle la stimule de façon ascendante, cette glande pinéale est liée à des zones situées dans le 4è ventricule et flotte dans le liquide cérébro-spinal plein de vibrations. Etant donné que la neuromélanine a la capacité de transformer l’énergie d’un état à un autre : cela veut dire que le procédé de transfert de photo-phonon qui apparait dans le gel piézoélectrique dans lequel les vibrations mécaniques sont converties en énergie électrique , peut fournir l’énergie à ce courant interne qui se meut sous la forme d’un bâton ou de la partie inférieure d’une croix. De ce fait, la glande pinéale stimulée deviendrait le plan le plus élevé d’amplification et de répercussion de la boucle initiale située au sommet de ce bâton, et la diagonale ou le plan physionomique de cette croix serait le lieu où la neuromélanine est le plus concentré parmi les 12 foyers. Cette boucle d’énergie éveillée serait le symbole d’un œil, d’un oiseau ou autre symbole de lumière, de vol, de perception ou d’illumination et de liberté. Ces compétences de la neuromélanine existeraient depuis l’embryogénèse et se poursuivraient à différentes étapes du développement.
Pour les humains la glande pinéale en particulier fonctionne non seulement comme un site de procédés photosensibles mais c’est un capteur de champs électro magnétique et un détecteur d’oscillations de fréquences extrêmement basses. Ces particularités sont expérimentées dans des états méditatifs et dans d’autres états d’attention subjective focalisée.
Ces propriétés bioélectriques de la neuromélanine et de la mélanine du cerveau et du tronc cérébral ont depuis peu commencé à recevoir un grand intérêt dans la littérature clinique. La mélanine et la neuromélanine déjà clairement désignés comme étant des semi-conducteurs de lumière sont d’excellents candidats pour le rôle de neuromodulateur du système nerveux central. Les champs magnétiques subtils et leurs courants bioélectriques associés peuvent être stimulés dans le cerveau, ce qui affecte profondément la conscience humaine. Utilisés en pratique clinique cela révolutionnera les sciences de la vie ; cela rend possible les effets de la super conductivité biologique, une hypothèse relativement nouvelle dans la science clinique. On pense tout de suite non seulement aux pathologies psycho physiologiques mentionnées précédemment mais aussi à celles liées aux troubles affectifs saisonniers et autres pathologies dépressives incluant une diminution de l’énergie subjective ou sous activation du système nerveux autonome. En termes de compréhension des diverses pratiques méditatives des peuples de la terre et leur connexion au plus grand milieu terrestre et cosmique leur capacité d’unification et leur chemin psycho spirituel collectif sont loin de notre compréhension actuelle.
Conclusion
Nous avons présenté une technique standard d’activation du système nerveux autonome qui semble intimement associée à l’action psychophysique et neurodynamique de la neuromélanine. Ce procédé peut être enseigné à des patients atteints de symptômes aigus et prolongés sur le plan psycho-physiologiques. Il y aurait des relations non locales et peut être des contiguïtés topologiques entre les processus micro neuraux et macro neuraux du cosmos et spécifiquement une similarité configurationnelle entre certains foyers de neuromélanine et les structures constellationnelles en forme de spirale du cosmos. Il y a une interaction entre notre corps et l’univers. Nous exploitons le moyen de communiquer plus directement et clairement avec notre corps et de pouvoir donner de grands espoirs aux malades atteints de maux et maladies incurables.
La neuromélanine dans l’embryogénèse
L’histoire de la neuromélanine commence avant l’embryogénèse, la mélanine est présente dans la queue du spermatozoïde du père, elle est aussi présente dans les ovaires dans les œufs de la mère.
Post-scriptum
Les informations ne sont pas des connaissances, et les connaissances ne représentent pas la sagesse mais quand la sagesse ancienne est liée à la connaissance nouvelle cela peut impliquer une vision radicalement transcendante de la réalité. Nous essayons de représenter le lien entre l’être humain et le cosmos. Plus il a exploré le monde intérieur en lui-même, plus il a vu son miroir dans le monde extérieur « le monde du dessus et du dessous se ressemblent ». La capacité de la mélanine d’interagir avec la lumière et de la transmuter à de très hauts niveaux d’organisation et de complexité pour la transformer d’un état d’énergie à un autre était vue comme parallèle crucial d’évolution. En effet la mélanine et la neuromélanine n’étaient plus vues comme un déchet biochimique du système nerveux central mais comme un participant intime du mystérieux déroulement de la vie dans ses expressions d’intelligence et de lumière. La mélanine absorbe la lumière et accroit son intensité et sa quantité au fur et à mesure que nous progressons et montons dans l’échelle de l’évolution et approfondit ce sens d’embrassement intime avec la danse de l’évolution.
Nous avons vu ces uniques propriétés de transducteur d’énergie de la neuromélanine en facilitant la transmission nerveuse dans les structures cérébrales. Mais la mélanine n’est pas limitée au cerveau ou même à l’humain ou mammifère, on la trouve dans l’environnement le plus large : dans le sol, l’eau, l’air, dans tout le système solaire lui-même.
Il y a eu beaucoup de montées, de chutes, de victoires oubliées, de résurrections des peuples d’Afrique. Mais il ne pourrait pas en être autrement car l’Afrique est la racine génétique et anthropologique de l’espèce humaine avec tous ses changements et ses drames ; et le cerveau dans son cœur profond en est imprégné à travers les divers peuples de la terre. Aujourd’hui en dépit des stéréotypes de nouvelles négatives sur la pauvreté, les maladies, les guerres, la malnutrition, la corruption, malgré toutes les plaies connues de l’humanité qui attaquent le continent et sa population, l’Afrique remonte doucement. Dans les derniers siècles marquant la chute de l’Afrique après un cycle de montée, l’Afrique a subi un esclavage et une dégradation sans précédent. Dans un monde dominé par le monde européen la peau noire fut assimilée à un pays déchu : Ce monde européen répandit son idéologie raciale malfaisante dans des acceptations tacites de la science, de la religion, de la politique et même dans la dynamique intime de la vie sociale et familiale. La peau noire est devenue un signe de statut inférieur d’appartenance minimisée dans la famille humaine. L’étude de la peau noire ou de tout ce qui était associé à la peau noire devint un sujet tabou, redouté, dénigré et dévalué.
Les Dravidiens de l’Inde ont vécu une situation similaire quand les Indo-européens venus du Nord ont balayé l’Inde, ont exécuté et mis en esclavage pendant des centaines d’années les habitants à la peau noire de la vallée de l’Indus. L’épisode de l’occupation britannique a renforcé cette notion.
Curieusement, dans les deux récits, les habitants à la peau noire, des siècles avant les invasions de leurs pays, ont créé, développé les sciences contemplatives qui élèvent et remplissent le sanctum intérieur de l’esprit humain avec une réalité lumineuse qui le connectent aux étoiles et à une réalité au-delà de la conceptualisation linguistique. Les indo-Aryens se sont emparés de la science et au fil du temps dans un processus de cryptoamnésie ont oublié ses origines issues de la caste conquise à la peau noire qu’ils en sont venus à mépriser. Le début de l’islam, le christianisme, le judaïsme, ont tous leurs racines historiques dans le terreau des peuples à la peau noire. Ce ne fut pas une coïncidence. Ce n’était pas par accident que ces deux civilisations soumises, pendant des milliers d’années avant qu’elles ne soient conquises étaient en contact l’une avec l’autre à travers les routes commerciales de la terre et de la mer de l’océan indien. Ce qui est crucial c’est qu’elles ont toutes les deux découvert comment éveiller et illuminer le coté noir intérieur de l’esprit humain à travers une bioluminosité vivante qui était une partie intime du corps :le cerveau et la partie profonde du cerveau, cette partie vibratoire du cerveau qui est la neuromélanine.